Super Mario Land 2 6 Golden Coins
La première apparition de Wario, autre perso iconique de la saga !
Genre : Plateforme / Année de sortie : 1993
Publié il y a un an
Ça va, pas si ingrate que ça la princesse Peach finalement ! Moi qui croyais quelle donnais comme unique récompense pour avoir était sauvé juste un petit bisou sur le nez et une tape sur l’épaule à Mario en pensant très fort ‘sortir avec un plouc comme toi, jamais’, bien finalement elle lui a offert un château et tout un domaine ! Un château qui va malheureusement être squatté par ce connard de Wario, et vous savez ce que c’est, pour les expulser avec l’aide de l’état ceux-là t’en fini pas… Non t’inquiète, on va régler ça en tête à tête Wario, je vais te le faire griller à coup de boules de feu ton gros cul…
Sommaire de la série Mario
Super Mario Land 2 6 Golden Coins (8/10)
S’il y a une chose que j’apprécie grandement avec les deux Mario Land sur GameBoy, c’est qu’il se creuse la tête pour se distinguer des aventures classiques et donner quelques choses de nouveau, avec cette ambiance si particulière qui les caractérises. On aura tout de même avec ces deux jeux deux nouveaux personnages, qui encore aujourd’hui sont récurrents, au point même de provoquer de vives réactions s’ils sont absents d’un jeu (Le Mario Foot sur Switch en à fait les frais en ne mettant pas Daisy tout de suite). Donc pour tout fans du moustachu, il est important de faire ces deux titres, et surtout celui-là, qui fait bien mieux que son prédécesseur !
Déjà le jeu est bien plus beau, les personnages sont bien plus gros et bien mieux animés, les décors gagnent aussi grandement en finesse. Aussi au niveau des contrôles, la ou le premier Mario Land avait la rigidité des contrôles du premier Mario Bros, ici on profite d’un Mario qui se contrôle parfaitement, très facilement, s’inspirant plus du ressentit d’un Mario World. D’ailleurs on y retrouve l’excellent saut vrille, qui permet de détruire des blocs sous nos pieds si on possède au moins une transformation. Après rien de bien foufou sur les power up pour Mario, une fleur de feu et des ailes pour étendre nos sauts (ou limite voler sans quasiment jamais descendre quand tu regardes les speed Runner !), mais ça fait le taf.
La durée de vie aussi s’étend grandement, avec bien plus de niveaux, le jeu est constitué de 6 mondes, avec en moyennes 4 niveaux, plus souvent un petit caché quelque part sur la carte du monde. Car oui, il y a une carte à explorer, on peut se promener, et on est totalement libre de commencer par le monde qu’on veut, le genre de chose que j’adore, surtout ici quand on a autant de liberté ! Et cet univers à le mérite d’être original, bien sur j’ai encore un peu de nostalgie car c’est un jeu que j’ai fait très jeune, mais je trouve les mondes vraiment cool à explorer et jamais vu dans la série originale. On à quand même un monde dans l’espace (avec un niveau secret qui rend fort mécontent la lune d’ailleurs !), un autre dans un robot géant représentant Mario (ah oui le gars à pris définitivement la grosse tête, rien que l’ile s’appelle Mario Land !), ou encore celui qui se passe dans une maison géante, rappelant pour le coup le monde des géants de Mario bros 3, en plus fun encore.
Tout ça éveille la curiosité et donne envie de progresser, et ça a clairement réussi avec moi ! Même son de cloche pour le Level Design, qui à la manière de Mario Land 1 va essayer de nous surprendre avec des niveaux originaux, comme ceux dans l’espace avec sa gravité réduite, celle qui se passe dans l’arbre avec la sève qui ralentit la chute de Mario, et bien d’autres ! Les niveaux sont en plus bien conçus, toujours un peu trop simple il est vrai, mais faut bien se mettre en tête que ce jeu est pour le coup vraiment destiné au plus jeune ! Même constant pour les boss, qu’on peut vraiment souiller en 2/3 secondes tellement facilement si on spamme les boules de feu, et même sans ça, leurs Pattern sont très simpliste.
Les vétérans comme moi prendrons cependant du plaisir à chercher les sorties secrètes pour finir le jeu à 100%, et aussi avec le dernier niveau, accessible uniquement une fois les six mondes terminés (Ahhh mais c’est pour ça le titres avec les six pièces…). Ce dernier niveau ce passe dans le château de Mario qui est ma foi loin d’être accueillant (Je vous l’ai dit il à pris la grosse tête, Un futur Bowser le gars !), procurant pour le coup un bon challenge avec en plus un combat final bien tendu, contre un Wario qui utilisera lui aussi les différentes transformations dans un combat à plusieurs phases. Un dernier niveau difficile donc, mais rien non plus d’insurmontable, c’est surtout difficile par rapport aux autres niveaux du jeu ! Mais ne vous inquiétez pas pour moi, je l’ai bien botté le cul à ce Wario de merde et quand je me suis apprêté à lui donner le coup de grâce, sa casquette est tombée et à révéler sont crane… Chauve… Bon allez, je te pardonne Wario, vivre avec une telle calvitie, ça doit être un sacré combat. Gros et chauve, putain le pauvre…
Une excellente suite à Mario Land, qui est désormais un vrai gros jeu sérieux de la série ! Jeu d’une excellente qualité, surtout pour de la Game Boy, sont Gameplay et toutes l’originalité contenu dans cette aventure en fait un immanquable à tout ceux qui veulent retracer l’aventure du gros moustachu (celui en rouge).
8/10
Un jeu formidable
qui m'inspire, j'en ai d'ailleurs écrit une chanson
épique que je chante parfois à la taverne de Jhelom
!
Bien que le créateur de ce site (qui semblerait
venir du même monde que l'Avatar d'après les
légendes) ne place pas ce jeu parmi ses plus grands
coups de cœur, il y a tout de même passé un
excellent moment !
Au passage, êtes-vous au courant que j'ouvre une
nouvelle boutique d'archeries à Buccaneer's Den, en
face des bains ?