Mon journal intime (bien flingué) du jeu vidéo. Drogué à la dopamine procuré par le média depuis mon enfance, je partage mes avis, critiques et tests de bon goût sur tous les jeux que je fais, récents comme anciens.
Qu'est ce que qui rend mon site intéréssant et unique hormis ma plume exceptionelle? Je suis un grand passioné de vrais jeux rétros (années 80) et je partage aussi du contenu sur des grandes sagas oubliées, comme Ultima, Wizardry ou encore Zork, séries dont le contenu est quasi inexistant sur le web francophone.
Note : 7 / 10
Année de sortie : 2018
Genre : CRPG
The Bard's Tale IV: Barrows Deep
C’est un peu long sur la fin non ?
On peut dire que je fais partie des vrais, des TRUE, ceux qui ont fait la trilogie originale, que ce soit dans sa version d’époque ou la Trilogy. Bon, ok, je ne l’ai pas connue à l’époque où les jeux sont sortis (putain, encore heureux, je n’étais même pas née), mais au même titre que tous les vieux barbus qui ont financé le jeu sur Kickstarter à l’époque, cette suite tardive m’a plus qu’intrigué. Enfin une vraie suite à cette saga culte du CRPG, pour laquelle j’ai toujours eu beaucoup d’affection. Bon, ok, je suis un gros rapiat et j’arrive bien après la période de financement pour choper le jeu en promo, mais ça ne veut pas dire pour autant que je ne me suis pas investi dans l’aventure. Le problème est là justement : j’en ai peut-être passé un peu trop de mon temps dans cette nouvelle aventure…
publié il y a 2 jours
The Bard's Tale IV: Barrows Deep
C’est un peu long sur la fin non ?
Année de sortie : 2018
Genre : CRPG
Note : 7 / 10
On peut dire que je fais partie des vrais, des TRUE, ceux qui ont fait la trilogie originale, que ce soit dans sa version d’époque ou la Trilogy. Bon, ok, je ne l’ai pas connue à l’époque où les jeux sont sortis (putain, encore heureux, je n’étais même pas née), mais au même titre que tous les vieux barbus qui ont financé le jeu sur Kickstarter à l’époque, cette suite tardive m’a plus qu’intrigué. Enfin une vraie suite à cette saga culte du CRPG, pour laquelle j’ai toujours eu beaucoup d’affection. Bon, ok, je suis un gros rapiat et j’arrive bien après la période de financement pour choper le jeu en promo, mais ça ne veut pas dire pour autant que je ne me suis pas investi dans l’aventure. Le problème est là justement : j’en ai peut-être passé un peu trop de mon temps dans cette nouvelle aventure…
publié il y a 2 jours
Note : 8 / 10
Année de sortie : 1987
Genre : Infiltration
Metal Gear
Le jeu qui a popularisé un de mes genres préférés, l’infiltration
Enfin, je m’attaque au bousin, au vénérable ancêtre. Pris d’une pulsion de parcourir l’intégralité des jeux principaux de la saga, plein d’étoiles dans les yeux rien qu’à penser remettre mes mains sur MGS 2 et 3, je me suis pris la collection sur PC, car celle-ci part depuis le début. Le tout tout début, où le "Solid" n’avait pas encore sa place, avec un titre intitulé sobrement Metal Gear, sorti sur une console japonaise, passant totalement inaperçu chez nous. Il est plus que temps de faire un petit cours de rattrapage !
publié il y a 9 jours
Metal Gear
Le jeu qui a popularisé un de mes genres préférés, l’infiltration
Année de sortie : 1987
Genre : Infiltration
Note : 8 / 10
Enfin, je m’attaque au bousin, au vénérable ancêtre. Pris d’une pulsion de parcourir l’intégralité des jeux principaux de la saga, plein d’étoiles dans les yeux rien qu’à penser remettre mes mains sur MGS 2 et 3, je me suis pris la collection sur PC, car celle-ci part depuis le début. Le tout tout début, où le "Solid" n’avait pas encore sa place, avec un titre intitulé sobrement Metal Gear, sorti sur une console japonaise, passant totalement inaperçu chez nous. Il est plus que temps de faire un petit cours de rattrapage !
publié il y a 9 jours
Note : 9 / 10
Année de sortie : 2010
Genre : CRPG
Flames of Vengeance (extension de Divinity II)
Mon plus beau souvenir du monde de Rivellon
Et ce titre de critique, je ne l’invente pas. J’ai joué à ce jeu, avec son extension, il y a bien longtemps (une bonne dizaine d’années, je dirais). Et c’est fou : le seul vrai souvenir marquant que j’en avais gardé (hormis quelques concepts clés comme la tour, les gros seins de mon personnage, et la transformation en dragon) était… l’extension. Cette géniale ville d’Aleroth, remplie de quêtes partout, littéralement à chaque coin de rue, où des PNJ n’attendent qu’une chose : nous filer du boulot. Comme quoi, Macron n’a rien inventé. Bref, la ville d’Aleroth était mon souvenir le plus persistant du jeu, et si ça m’avait autant marqué, c’est tout simplement parce que cette extension est tout bonnement incroyable !
publié il y a 16 jours
Flames of Vengeance (extension de Divinity II)
Mon plus beau souvenir du monde de Rivellon
Année de sortie : 2010
Genre : CRPG
Note : 9 / 10
Et ce titre de critique, je ne l’invente pas. J’ai joué à ce jeu, avec son extension, il y a bien longtemps (une bonne dizaine d’années, je dirais). Et c’est fou : le seul vrai souvenir marquant que j’en avais gardé (hormis quelques concepts clés comme la tour, les gros seins de mon personnage, et la transformation en dragon) était… l’extension. Cette géniale ville d’Aleroth, remplie de quêtes partout, littéralement à chaque coin de rue, où des PNJ n’attendent qu’une chose : nous filer du boulot. Comme quoi, Macron n’a rien inventé. Bref, la ville d’Aleroth était mon souvenir le plus persistant du jeu, et si ça m’avait autant marqué, c’est tout simplement parce que cette extension est tout bonnement incroyable !
publié il y a 16 jours
Note : 7 / 10
Année de sortie : 2009
Genre : CRPG
Divinity II: Ego Draconis
Divinity : Panzer Dragoon Edition
2010, c’était encore le temps de l’ancien Larian Studios. Une époque où le studio était surtout connu pour sa saga originale Divinity, une série de jeux d’action-RPG/Hack and Slash. Certes, de bons jeux, mais loin d’avoir l’aura prestigieuse des grands noms du genre. Et ce Divinity 2: Ego Draconis (à ne pas confondre avec Divinity: Original Sin 2 – car oui, les noms dans cette saga, c’est comme son scénario, un grand n’importe quoi) reste le plus pur représentant de cette époque. Un jeu pour lequel j’ai toujours beaucoup d’affection (surtout pour son extension, comme vous le verrez), mais dont je ne peux nier certains petits défauts, qui l’empêchent de côtoyer les sommets.
publié il y a 16 jours
Divinity II: Ego Draconis
Divinity : Panzer Dragoon Edition
Année de sortie : 2009
Genre : CRPG
Note : 7 / 10
2010, c’était encore le temps de l’ancien Larian Studios. Une époque où le studio était surtout connu pour sa saga originale Divinity, une série de jeux d’action-RPG/Hack and Slash. Certes, de bons jeux, mais loin d’avoir l’aura prestigieuse des grands noms du genre. Et ce Divinity 2: Ego Draconis (à ne pas confondre avec Divinity: Original Sin 2 – car oui, les noms dans cette saga, c’est comme son scénario, un grand n’importe quoi) reste le plus pur représentant de cette époque. Un jeu pour lequel j’ai toujours beaucoup d’affection (surtout pour son extension, comme vous le verrez), mais dont je ne peux nier certains petits défauts, qui l’empêchent de côtoyer les sommets.
publié il y a 16 jours
Note : 6 / 10
Année de sortie : 2011
Genre : Simulation
L.A. Noire
Une bonne petite série télé en hommage à L.A. Confidential.
Ça fait longtemps que ce jeu édité par Rockstar m’intrigue. Un jeu qui avait fait beaucoup de bruit à l’époque, notamment pour ses animations faciales bluffantes (qui, cela dit, font toujours le café aujourd’hui) et pour son ambiance de détective dans un Los Angeles des années 40, dans un des hommages les plus évidents à L.A. Confidential, excellent film de l’époque. Mais alors, qu’est-ce qui m’a rappelé ce jeu, au point que j’aie envie d’y jouer en 2024 ? C’est simple : cette vidéo ! J’étais tellement plié en deux que, tout connement, je voulais y jouer juste pour arriver à ce moment précis. Puis, comme j’ai bien aimé l’aventure, je me suis dit : pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ?
publié il y a 22 jours
L.A. Noire
Une bonne petite série télé en hommage à L.A. Confidential.
Année de sortie : 2011
Genre : Simulation
Note : 6 / 10
Ça fait longtemps que ce jeu édité par Rockstar m’intrigue. Un jeu qui avait fait beaucoup de bruit à l’époque, notamment pour ses animations faciales bluffantes (qui, cela dit, font toujours le café aujourd’hui) et pour son ambiance de détective dans un Los Angeles des années 40, dans un des hommages les plus évidents à L.A. Confidential, excellent film de l’époque. Mais alors, qu’est-ce qui m’a rappelé ce jeu, au point que j’aie envie d’y jouer en 2024 ? C’est simple : cette vidéo ! J’étais tellement plié en deux que, tout connement, je voulais y jouer juste pour arriver à ce moment précis. Puis, comme j’ai bien aimé l’aventure, je me suis dit : pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ?
publié il y a 22 jours
Note : 8 / 10
Année de sortie : 1988
Genre : CRPG
The Bard's Tale III: Thief of Fate
La Réhabilitation pour la fin de trilogie
Bon, le second opus, c’était pas vraiment le grand amour pour moi, quel semi-déception quand j’y repense. Bien oui, semi, car j’y ai tout de même pris du plaisir, pour un passionné de CRPG aussi zinzin que moi, il faut y aller pour me faire détester un jeu du genre, mais sinon, c’était vraiment moyen. Allez, faut se motiver, il reste encore un jeu à finir pour compléter cette collection. D’après mes souvenirs lointains, ce Thief of Fate était sympa. Et en effet, cette fois-ci, ma mémoire ne m’a pas fait défaut : ce dernier jeu de la trilogie est tout bonnement excellent, et on a enfin une vraie suite qui apporte quelque chose ! C’est parti pour botter le cul d’un ultime méchant sorcier !
publié il y a un mois
The Bard's Tale III: Thief of Fate
La Réhabilitation pour la fin de trilogie
Année de sortie : 1988
Genre : CRPG
Note : 8 / 10
Bon, le second opus, c’était pas vraiment le grand amour pour moi, quel semi-déception quand j’y repense. Bien oui, semi, car j’y ai tout de même pris du plaisir, pour un passionné de CRPG aussi zinzin que moi, il faut y aller pour me faire détester un jeu du genre, mais sinon, c’était vraiment moyen. Allez, faut se motiver, il reste encore un jeu à finir pour compléter cette collection. D’après mes souvenirs lointains, ce Thief of Fate était sympa. Et en effet, cette fois-ci, ma mémoire ne m’a pas fait défaut : ce dernier jeu de la trilogie est tout bonnement excellent, et on a enfin une vraie suite qui apporte quelque chose ! C’est parti pour botter le cul d’un ultime méchant sorcier !
publié il y a un mois
Note : 9 / 10
Année de sortie : 2023
Genre : Plateforme
Super Mario Bros. Wonder
Bon, vivement un Super Mario Maker 3 avec les fleurs prodiges, du coup !
Pfiou, j’arrive enfin au bout de mon marathon des jeux principaux de la saga Mario. Ah ouais, je suis comme ça, un vrai ouf malade. J’ai tout refait, je suis passé par Mario Bros 2 (attention, le vrai, celui pour les TRUE GAMER), j’ai retrouvé mon vieil ami Mario World, toujours aussi incroyable et qui reste pour moi le meilleur de la saga. Ensuite, je suis repassé par toute la saga en 3D, Mario 64 et Galaxy notamment, bordel, de sacrés bons jeux ceux-la. Après ça, côté 2D, c’est devenu un peu mort, avec New Mario Bros par-ci, New Mario Bros U par-là… Putain, c’est bon, stop avec le recyclage de l’enfer ! Et alors que je croyais que la licence n’avait plus rien de neuf à offrir côté 2D, un jeu merveilleux est arrivé dans ma vie…
publié il y a 2 mois
Super Mario Bros. Wonder
Bon, vivement un Super Mario Maker 3 avec les fleurs prodiges, du coup !
Année de sortie : 2023
Genre : Plateforme
Note : 9 / 10
Pfiou, j’arrive enfin au bout de mon marathon des jeux principaux de la saga Mario. Ah ouais, je suis comme ça, un vrai ouf malade. J’ai tout refait, je suis passé par Mario Bros 2 (attention, le vrai, celui pour les TRUE GAMER), j’ai retrouvé mon vieil ami Mario World, toujours aussi incroyable et qui reste pour moi le meilleur de la saga. Ensuite, je suis repassé par toute la saga en 3D, Mario 64 et Galaxy notamment, bordel, de sacrés bons jeux ceux-la. Après ça, côté 2D, c’est devenu un peu mort, avec New Mario Bros par-ci, New Mario Bros U par-là… Putain, c’est bon, stop avec le recyclage de l’enfer ! Et alors que je croyais que la licence n’avait plus rien de neuf à offrir côté 2D, un jeu merveilleux est arrivé dans ma vie…
publié il y a 2 mois
Note : 8 / 10
Année de sortie : 2018
Genre : Strategie
Frostpunk
Les climatosceptiques
Un grand cru du jeu de gestion que j’ai rejoué il y a peu. À l’époque, je l'avais découvert vers sa sortie alors qu’il ne possédait qu’un seul chapitre, tandis que nous avons désormais droit à une véritable campagne, où chaque mission nous demandera des trésors d’adaptation pour en voir le bout. C’est donc avec un grand plaisir que j’ai parcouru cette fois-ci l’intégralité de l’expérience Frostpunk, et malgré toutes les souffrances pour en venir à bout, l’expérience est toujours aussi fascinante, dans un jeu qui n’a pas pris une ride !
publié il y a 2 mois
Frostpunk
Les climatosceptiques
Année de sortie : 2018
Genre : Strategie
Note : 8 / 10
Un grand cru du jeu de gestion que j’ai rejoué il y a peu. À l’époque, je l'avais découvert vers sa sortie alors qu’il ne possédait qu’un seul chapitre, tandis que nous avons désormais droit à une véritable campagne, où chaque mission nous demandera des trésors d’adaptation pour en voir le bout. C’est donc avec un grand plaisir que j’ai parcouru cette fois-ci l’intégralité de l’expérience Frostpunk, et malgré toutes les souffrances pour en venir à bout, l’expérience est toujours aussi fascinante, dans un jeu qui n’a pas pris une ride !
publié il y a 2 mois
Note : 8 / 10
Année de sortie : 1985
Genre : Reflexion
À la poursuite de Carmen Sandiego dans le monde
Oh non, ce jeu essaie de me faire apprendre des choses !
Fin de mon tour d’horizon de l’année 1985 du jeu vidéo, et je la termine avec sûrement le jeu, qui aujourd’hui, est le moins populaire parmi ceux que j’ai parcourus. "À la poursuite de Carmen" est un pur produit des années 80, une licence qui parlera surtout à une grande partie des gamins ayant grandi à cette période. Voyez plutôt, c’est comme si je parlais, moi, des Minikeums à des enfants des années 2000, ils ne sauront pas de quoi je parle. Et quel dommage franchement, car c’était vraiment trop cool, puis quand je repense aux musiques !… Mélissa, non, ne pleure pas, "Woaaaaowaaaw wouuuu !"
publié il y a 2 mois
À la poursuite de Carmen Sandiego dans le monde
Oh non, ce jeu essaie de me faire apprendre des choses !
Année de sortie : 1985
Genre : Reflexion
Note : 8 / 10
Fin de mon tour d’horizon de l’année 1985 du jeu vidéo, et je la termine avec sûrement le jeu, qui aujourd’hui, est le moins populaire parmi ceux que j’ai parcourus. "À la poursuite de Carmen" est un pur produit des années 80, une licence qui parlera surtout à une grande partie des gamins ayant grandi à cette période. Voyez plutôt, c’est comme si je parlais, moi, des Minikeums à des enfants des années 2000, ils ne sauront pas de quoi je parle. Et quel dommage franchement, car c’était vraiment trop cool, puis quand je repense aux musiques !… Mélissa, non, ne pleure pas, "Woaaaaowaaaw wouuuu !"
publié il y a 2 mois
Note : 10 / 10
Année de sortie : 2017
Genre : CRPG
Divinity: Original Sin II
Le jeu qui fait basculer Larian dans la cour des très grands du CRPG
Alors attention, au vu du titre de ma critique, on pourrait croire que les anciens Divinity comptent pour du beurre. Oh que non, j’ai toujours particulièrement apprécié cette saga, avec des jeux que j’ai déjà tous faits au moins deux fois, c’est dire. Mais même moi, je veux bien reconnaître que ce sont plus des RPG un peu niches, moins connus du grand public, qui sont très bons certes (voir excellent avec le premier Original Sin), mais sans jamais avoir cette même aura typique des pointures du genre tels les plus grands succès de CD Projekt, Origin ou le Bioware d’antan. Avec Divinity Original Sin 2, on franchit définitivement un nouveau cap.
publié il y a 2 mois
Divinity: Original Sin II
Le jeu qui fait basculer Larian dans la cour des très grands du CRPG
Année de sortie : 2017
Genre : CRPG
Note : 10 / 10
Alors attention, au vu du titre de ma critique, on pourrait croire que les anciens Divinity comptent pour du beurre. Oh que non, j’ai toujours particulièrement apprécié cette saga, avec des jeux que j’ai déjà tous faits au moins deux fois, c’est dire. Mais même moi, je veux bien reconnaître que ce sont plus des RPG un peu niches, moins connus du grand public, qui sont très bons certes (voir excellent avec le premier Original Sin), mais sans jamais avoir cette même aura typique des pointures du genre tels les plus grands succès de CD Projekt, Origin ou le Bioware d’antan. Avec Divinity Original Sin 2, on franchit définitivement un nouveau cap.
publié il y a 2 mois