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Sommaire de la série Metal gear






Metal Gear Solid 3: Snake Eater (10/10)

Metal Gear Solid 3: Snake Eater

Mon épisode préféré de la saga !

Genre : Infiltration / Année de sortie : 2004

Publié il y a 5 jours


Eh oui, ce Metal Gear Solid 3, c’est clairement mon préféré ! Et qu’on ne vienne pas me parler de nostalgie qui obscurcit mon jugement. Oui, c’est vrai, j’y ai beaucoup joué quand j’étais jeune. Mais pour ma défense, je refais actuellement tous les jeux de la série, et comme je viens de finir à nouveau cet opus… Cte claque. Et oui, je n’ai encore jamais fait le 4 et le 5, donc je ne devrais pas être en mesure de me prononcer sur lequel est mon préféré… Mais bas les couilles, je sais d’avance que ce Snake Eater restera pour moi le jeu du cœur.

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Metal Gear Solid 3: Snake Eater (10/10)


Œil pour œil

Déjà, premier point pour lequel j’adore ce jeu : tout son scénario. J’avais beaucoup aimé les deux premiers opus en 2D, mais ils étaient simplistes au possible dans leur narration, malgré une qualité étonnante dans sa narration pour MG2. MGS1, c’était cool, oui, mais franchement, aujourd’hui, c’est un peu du nanar/série B, bien que j’aie toujours de l’affection pour son scénario. MGS2, même si je parviens aujourd’hui à pleinement apprécier son intrigue alambiquée et profondément méta, ça reste un délire à part. Tandis que ce MGS3, lui, enchaîne les sans-faute de bout en bout.

Déjà, fini le Raiden qui avait fait grincer des dents : hop, Snake reprend du service ! Et encore mieux, on parle ici du Snake original, le fucking mâle alpha à l’origine du projet des Enfants Terribles, l’ultra-charismatique Big Boss. Déjà que j’appréciais beaucoup le personnage de Snake (comme tout le monde), ah, Big Boss… il a encore ce petit quelque chose en plus. Que ce soit son charisme (surtout avec son bandeau sur un œil, mamamia), sa personnalité (passionné d’armes à feu ET de tout type de bouffe) ou tout simplement le fait de savoir qu’on joue une légende en devenir, tout est fait pour qu’on adore ce personnage. Alors oui, adieu mon petit Raiden, qui aura tout de même un sacré clin d’œil dans ce jeu avec un personnage annexe : Raikov, qui n’a aucun lien de parenté avec Raiden, mais qui est un « hommage » à ce dernier. Notez bien les guillemets autour de hommage, parce qu’on est plus sur du gros troll à la Kojima, tant ce Raikov va prendre cher pour sa dignité (il est assez con et très efféminé, pour dire ça gentiment). Mais c’est beaucoup trop cool, surtout pour les fans de la première heure qui détestaient Raiden : eux, ils seront aux anges.

Trop stylé

Puis l’histoire en elle-même est véritablement excellente. Le fait de la placer bien avant dans la chronologie est très malin, car le jeu peut ainsi lever pas mal de zones d’ombre laissées par les deux premiers MGS avant le final dans MGS4, tout en expliquant l’origine de certains personnages-clés, Big Boss en tête. Retour donc dans les années 60, en plein contexte de guerre froide, avec une ambiance rétro que j’adore : ça a un charme fou, je trouve. On se retrouve à parler de films des années 60 avec Para-Medic (notre Mei Ling locale), de technologies qui n’existent pas encore à cette époque avec Sigint… Bref, c’est cool.

J’ai aussi adoré tout l’aspect espionnage / agent secret du scénario. On est clairement sur une écriture qui s’inspire de certaines œuvres à la James Bond, influence à peine dissimulée avec le thème principal magnifique du jeu (ma musique préférée de la saga… et oui, je sais, j’ai pas encore fait les deux derniers, mais m’en fous !) qui a tout d’un générique de James Bond, ou encore avec notre James Bond Girl sexy, en la personne d’Eva, un excellent personnage qui épaule Snake. Il y aura pas mal de retournements de situation, de personnages qui jouent double jeu, voire triple… Bref, c’est super cool.

J’ai adoré surtout certains personnages qui font partie des plus charismatiques de la série, ou qui étaient déjà là mais qui sont vraiment à leur prime ici. The Boss, notamment, le mentor de Big Boss… Existe-t-il un personnage féminin plus charismatique dans le monde du jeu vidéo ? Non, parce que franchement, je me pose la question ! Personnage central du jeu, j’ai adoré chacune de ses apparitions, et son lien avec Snake, combiné à sa situation que l’on devine très difficile, tiraillée entre deux camps, constitue une grande partie de l’enjeu de l’intrigue. La dernière séquence avec The Boss fait d’ailleurs, pour moi, partie des moments les plus mythiques de la saga via sa mise en scène.

Trop bonne

Mais il y a d’autres personnages qui ne sont pas en reste, comme Ocelot, en version tout jeunot, qui fait partie des personnages récurrents du jeu. Jamais il n’a été aussi important et présent dans un MGS, et c’était vraiment trop cool de voir les origines de ce personnage des plus mystérieux. Le fait de lui avoir créé cette relation élève/rival empreinte d’un grand respect avec Big Boss, plutôt que d’en faire un simple méchant, est une excellente idée de scénario, et m’a fait grandement apprécier le personnage.

« D’accord, mais… est-ce que ça a un bon goût ? »

Passons désormais au second point qui fait que MGS3 est pour moi un des meilleurs opus : son gameplay. Tout simplement son gameplay. On reprend les mêmes et on recommence en quelque sorte, en s’appuyant sur celui de MGS2, tout en améliorant grandement la formule. Il y a tant d’améliorations dans les mécaniques qu’on arrive à une formule vraiment aboutie, sans plus vraiment de lourdeur comme on pouvait encore en avoir dans MGS2.

Déjà, la meilleure idée : la caméra qui passe enfin à la troisième personne. Meilleure décision que pouvait prendre la saga, de très loin. Je sais que ce n’était pas dans le jeu de base et qu’il a fallu attendre la version Subsistence pour y avoir droit, mais une fois essayé, c’est définitivement adopté tant c’est plus agréable (d’ailleurs, le fait que ce soit devenu la caméra de base pour MGS4 n’y est pas étranger). Surtout qu’ici, avec les zones bien plus grandes et ouvertes, car la plupart du temps en extérieur, cette caméra était de loin le choix le plus logique. Tout le gameplay du jeu va de plus parfaitement s’adapter à cette caméra, qui, si elle apporte de grands avantages, est compensée par une IA bien plus intéressante.

Car désormais, fini les gardes quasi aveugles et sourds. Ceux-ci ont visiblement, comme nous, une vue bien plus large, et peuvent nous repérer de bien plus loin, et aussi entendre nos déplacements. C’est une très bonne chose qui va nous forcer à mieux jouer et à prendre notre temps, à observer avant d’agir. Les nouveaux décors extérieurs, qui seront notre terrain de jeu principal, profitent d’une pléthore de nouvelles approches furtives pour toujours surprendre plus les gardes. On peut désormais s’approcher sous l’eau avec un masque de crocodile (je déconne zéro), se planquer dans les hautes herbes, tirer en étant suspendu depuis une branche d’arbre, se cacher en utilisant le relief des montagnes… Bref, tellement de nouvelles possibilités !

Surtout que le jeu apporte ici tout un aspect survie très light, mais vraiment accrocheur, avec trois nouvelles mécaniques qui s’intègrent parfaitement au jeu.

On a tout l’aspect camouflage, où l’on pourra changer de tenues et de peintures pour mieux se fondre dans le décor, avec une jauge de visibilité désormais représentée en jeu et qui devient un facteur essentiel de cet opus. Certains ont trouvé ce système un peu lourd avec des allers-retours incessants dans le menu, mais moi, ça ne m’a pas dérangé. Surtout que, MGS oblige, il y a pléthore de petits détails et trouvailles vraiment bien foutues avec ce système. On aura plein de camouflages à trouver durant notre exploration, certains secrets en battant un boss de manière non létale. Certains camouflages ont des effets uniques, comme le génial Guerre froide, avec un drapeau soviétique d’un côté et américain de l’autre, de telle sorte que les soldats ne nous tirent dessus que s’ils font face à notre dos avec le drapeau américain. Juste excellent ! Il y aura même de l’infiltration avec divers costumes, bref, c’est trop cool.

Ensuite, on a toute une gestion de la nourriture, avec pas moins de 40 espèces différentes à bouffer! Là aussi, ça aurait pu être simpliste, mais pas avec Kojima. Tu peux bouffer des serpents, du crocodile (en leur envoyant une grenade dans la gueule, genre de détail que j’adore), des piafs (même celui d’un boss pendant son combat pour le mettre en colère), des rats, et même une créature sortie tout droit d’une légende ! Certains aliments sont bons à manger, d’autres sont empoisonnés, d’autres encore sont dangereux à chasser tout simplement. Et le tout rentre en parfaite symbiose avec le gameplay du jeu, car on peut aussi s’en servir directement avec les gardes. Une fois, j’ai vidé toute une zone avec une simple araignée que j’avais capturée vivante ! Une araignée venimeuse qui, jetée sur un garde, l’empoisonnait mortellement, et tout ça en toute discrétion ! On a même un système de temps qui utilise celui de la vraie vie pour faire périmer les aliments en notre possession ! Reviens jouer après deux semaines de vacances, et je peux te garantir qu’il vaut mieux éviter de bouffer ton poisson qui a traîné tout ce temps-là !

I want some more !

Enfin, on a tout un aspect soin qui, à l’époque, passait par des rations, mais où il faudra désormais soigner ses blessures via une nouvelle interface. Il sera question de faire des bandages pour les brûlures, mettre une attelle pour un os brisé lors d’une vilaine chute, voire même prendre des médicaments en cas d’indigestion. Ce n’est pas bien compliqué, mais ça contribue à apporter de la profondeur au gameplay du jeu.

Et tout ça combiné, ça donne un jeu purement ludique, où on peut tellement s’amuser à tester différentes approches ! J’ai adoré cet aspect. Comme je l’ai dit plus haut avec ma petite araignée qui a décimé bravement toute une unité de gardes, le gameplay est tellement rodé que j’aurais pu faire ça de bien des manières différentes. Dans les marais, par exemple, j’aurais pu assommer un garde et le laisser choir dans de la boue mouvante, le laissant mourir tout en faisant disparaître son corps dans la foulée. J’aurais pu forcer le passage, déclencher l’alerte, puis utiliser une pilule de mort simulé pour ensuite tracer ma route en toute quiétude.

J’aurais aussi pu affronter chaque ennemi au corps-à-corps et profiter des toutes nouvelles mécaniques de combat rapproché, appelées ici CQC, pour avoir encore plus d’options. Sorte de techniques de judo, Snake peut s’en servir même équipé d’une arme de poing pour maîtriser ses adversaires. C’est hyper efficace, et en plus des anciennes possibilités, on peut violemment jeter un ennemi au sol pour l’étourdir (mon move préféré), et aussi désormais interroger un garde, l’occasion d’obtenir plein de petits secrets. Par exemple, on pourra obtenir une fréquence radio de désactivation d’alerte, permettant de se sortir d’un mauvais pas.

Bref, vous avez compris l’idée : il y a tant de possibilités, c’est juste trop génial. Je me suis éclaté comme un gamin à toujours essayer de trouver une nouvelle façon d’approcher une situation, je ne me suis jamais ennuyé un seul instant. Surtout que le jeu est très varié dans ses décors et, par conséquent, ses mécaniques. Un coup tu es dans une forêt avec des hautes herbes, après c’est une zone avec un point d’eau, permettant de nager sous l’eau, ensuite c’est la montagne avec un hélico et plein de tourelles pour la jouer bourrin. On a aussi, à deux reprises, de vraies bases comme dans les anciens opus qui, même si elles ne représentent que 25% du jeu, apportent aussi de la diversité dans nos approches. Ces bases sont souvent l’occasion de la jouer plus infiltration que discrétion, avec toujours une pléthore de nouvelles possibilités.

Le CQC, qui fluidifie grandement le corp à corp

Et puis il y a aussi les boss, moments importants des MGS. Là, je suis un peu plus mitigé : certains combats sont assez moyen, et certains ennemis pas franchement charismatiques (The Pain, The Fear), mais bon, c’est dans la lignée des autres jeux, en un peu mieux tout de même. Car les boss sont souvent là pour mettre en valeur certains aspects du gameplay. Ocelot sera par exemple le classique duel de flingues, parfait pour nous apprendre à viser, The Fear nous fera habilement jouer avec sa faim pour, par exemple, l’empoisonner avec de la nourriture toxique !

Mais s’il faut retenir un seul combat de boss, le plus iconique du jeu, de la saga même (ouais, même devant Psycho Mantis !), c’est clairement The End. Quelle claque incroyable, ce moment. Un pur duel de sniper, même Wolf peut aller se rhabiller tellement c’est mieux : c’est un duel dans trois fucking zones ouvertes connectées, avec une quantité phénoménale d’approches et de petits secrets, qui a bien dut durée une quarantaine de minutes la première fois, mais putain que j’ai adoré. Une vraie chasse à l’homme dans une forêt, ou il faudra réussir à tirer avant lui, ou alors à le contourner pour l’atteindre discrètement à l'arrière, à vous de voir.

Il ne lui a pas serré la main, du coup, il lui a niqué sa mère !

Et enfin, troisième point pour lequel j’adore ce jeu : tous les à-côtés et les secrets du jeu. C’est un aspect que j’avais adoré sur MGS2, c’était fou la quantité de détails et de petits trucs drôles possibles (à jamais dans mon cœur Raiden qui se fait pisser dessus, Snake qui peut envoyer des photos coquines à Otacon, …), et bien là, c’est pareil. Il y a tellement de trucs secrets qu’il existe là aussi une vidéo d’une heure rien que pour montrer les secrets du jeu. Démentiel !

Et dans ces secrets, on a même de véritables variantes de jeu possibles parfois. Quel fut mon étonnement quand j’ai appris, après avoir fini le jeu, qu’on pouvait détruire un hélico stationné dans une base pour, bien plus tard, empêcher celui-ci de nous déranger. Les dépôts de munitions et de nourriture, que si on interroge un garde, on peut apprendre qu’on peut les détruire, ce qui aura un impact important sur tous les gardes environnants ! On peut même aller jusqu’à buter un boss au sniper alors qu’il n’a pas encore quitté l’écran à la fin d’une cinématique, faisant sauter son combat bien plus tard. Même boss qu’on peut affronter, sauvegarder, revenir deux semaines plus tard dans la vraie vie avant de recharger la partie, pour constater que celui-ci est mort de vieillesse. Tout simplement fou !

Un boss mythique !

Comme toujours, je vous invite à voir une vidéo résumant tous les secrets une fois le jeu fini, franchement, c’est hallucinant. J’avais découvert pourtant la plupart des mécaniques de jeu par moi-même, car je prenais bien mon temps, mais il y a quand même des petits trucs géniaux dont je n’avais pas fait gaffe. Par exemple, je n’avais pas remarqué que les yeux de Snake (par extension, la caméra) s’adaptaient progressivement à l’obscurité d’une grotte, qui, au bout de 5 minutes, nous permet de voir dans le noir, même sans objets. Je n’avais pas remarqué que Raikov avait exactement les mêmes animations de combat que Raiden ! Bref, juste trop génial !

Donc, j’ai parcouru tout le jeu une première fois tranquillement (en difficile dès le début, le jeu est vraiment trop simple sinon), avant de faire une seconde run pour débloquer tous les derniers secrets, comme ces foutus jouets de grenouilles à trouver, ou encore toutes les nourritures à collecter pour les derniers bonus à débloquer. Une fois fini, je me suis lancé dans la traditionnelle run du rang Big Boss, ici Fox Hound (bah ouais, un peu tôt encore !), clairement plus simple ici ! Ah ouais, après le terrifiant rang Big Boss de MGS2 avec sa limite de huit sauvegardes, le fait d’avoir jusqu’à 25 sauvegardes change totalement la donne, et le jeu reste de toute façon globalement plus simple, même en expert. Mais au moins, ce n’est pas de la difficulté bullshit comme MGS2 et certains de ses boss infâmes en expert, donc tant mieux.

Après avoir fait tout ça… Eh bien, c’est à peu près tout avec la famélique version HD, incluse dans la collection que j’ai faite pour rejouer à cet opus. Bah ouais, tous les autres trucs annexes, comme le mythique Snake Versus Monkey et le mode théâtre avec cinématiques bonus, ont sauté… Va savoir pourquoi, car il y avait pourtant tous les bonus dans les autres jeux de la collection… Donc une déception cette collection HD, mais je comptais pas me laisser faire, je voulais refaire le mode bonus des singes moi, qui, comme pour beaucoup, fait partie des très bons souvenirs qu’on a du jeu ! Je me suis donc fait chier à chopper un émulateur PS2 (non, je fais genre, j’en avais déjà un), une ROM de la version Subsistence qui a tous les bonus, ainsi qu’une save avec déjà tout débloqué pour pouvoir tout faire. Laborieux donc, et chose que j’ai pu faire avec mon PC de gamer, mais ceux jouant sur console, bah ils sont un peu niqués, et c’est vraiment couillon je trouve, de la part de Konami.

Bref, muni de mon émulateur qui pique les yeux avec ses 30 FPS, j’ai pu découvrir les joies des trois annexes principaux qui nous attendent en marge du jeu principal. Le plus connu, le Snake Versus Monkey, où l’on devra attraper des singes cartoonesques, venant d’un autre jeu de Konami. Il y a seulement sept niveaux reprenant les décors du jeu de base, mais c’est vraiment cool. On sera muni d’un EZ Gun modifié, permettant d’assommer les singes afin de les capturer, à moins qu’on préfère balancer des grenades flash de partout, ma foi une technique très efficace, surtout sur le dernier niveau ! C’est un très bon petit mode, c’est rigolo avec les singes qui profitent d’excellentes animations. Tu en as un qui fait le poirier sur un arbre, d’autres dansent sur une musique de la radio, certains font du karaté une fois qu’ils t’ont repéré, tu as carrément un « Metal Monkey » dans un certain niveau, bref, c’est rafraîchissant et vraiment amusant. Il y a même un petit aspect scoring avec un chrono à battre, comme pour les VR missions d’antan, donc c’est vraiment chouette.

Les singes aussi sont de grand ingénieurs apparemment !

Il y a aussi le mode duel, qui est un mode boss, qui à la différence des anciens, là on sélectionnera le combat individuellement plutôt qu’un boss rush classique. On pourra affronter un boss dans deux variantes, une classique et une un peu plus compliquée (difficulté augmentée et armement plus limité principalement), où il faudra le battre le plus vite et efficacement pour battre le rang 1, un aspect scoring sympathique aussi. J’ai tout fait en rang 1, c’était parfait pour s’entraîner pour ma run Fox Hound, c’était chouette, mais certains combats n’étaient pas nécessaires. Franchement, la poursuite en moto et le combat contre le Metal Gear, pfff que c’était relou ! À savoir que, quand même, les deux modes permettent de débloquer des tenues dans le jeu de base ! Mais bon là, fatalement, version HD oblige, je l’avais un peu dans le baba.

Sinon, en ultime contenu bonus, il y a le mode théâtre, qui permet en gros de revoir toutes les cinématiques du jeu. Oui, mais là, il y a un twist, car il y a aussi plein de nouvelles cinématiques humoristiques, refaites à partir des anciennes. Et franchement, c’est de loin le bonus le plus génial, tellement je me suis bien marré devant ! Rien que la première m’a bien fait rire, avec Snake qui loupe son atterrissage au début du jeu ! Mais parfois, ça va bien plus loin, comme Raiden qui veut reprendre la place du personnage principal et qui apparaîtra de façon hilarante et très maladroite dans différentes séquences du jeu. L’humiliation du personnage devient ici un délire à part entière. Mais celle qui m’a fait le plus rire, c’est celle avec le gars à qui Snake a refusé de serrer la main durant une cinématique du jeu de base. Ça partira dans un énorme délire où il fera tout un plan pour forcer Snake à rattraper son erreur, juste incroyable, j’étais plié.


Mon opus du cœur, et un de mes jeux préférés de cette génération ! C’est le jeu le plus maîtrisé de la série pour moi. Un gameplay génial, riche en possibilités et se renouvelant sans cesse, couplé à un excellent scénario qui ne tire pas non plus toute la couverture au détriment des séquences de jeu, voilà le Metal Gear parfait. Ajoutez à ça pléthore de secrets, de contenus annexes comme j’aime tant avec les jeux de cette série, et on a là, pour moi, le meilleur jeu de cette superbe saga.

10/10

visage du gardien de Ultima 7

Note : Cette note est parfaite, comme moi, l'Avatar!
Jeu : Fait partie des plus grand jeux vidéo que le créateur de ce site à pu jouer ! Ses plus grand coup de coeur !
Name : Mais c'est moi, L'Avatar, celle utilisée par le créateur du site durant son avanture à Britannia!
Job : Bon là, tu le fais exprès ?!