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Sommaire de la série Metal gear







Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots (8/10)

Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots

Une conclusion solide à la saga

Genre : Infiltration / Année de sortie : 2008

Publié il y a 3 jours


Enfin, enfin j’en viens à bout de cette aventure. MGS4, le fameux jeu/film, est-il à la hauteur ? Parvient-il à conclure brillamment toute l’intrigue, tout en conservant l’excellence du gameplay du précédent épisode que j’ai personnellement trouvé incroyable ?! Eh bien, même si on ne retrouve pas la maestria du troisième opus et que ce nouvel épisode ne figurera pas parmi mes préférés, avec des pop-corns, j’y ai passé un très bon moment.

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Sommaire de la série Metal gear







Metal Gear Solid 4: Guns of the Patriots (8/10)


L'École des fans

Bon, je ne pouvais commencer cette critique autrement qu’en parlant du scénario, l’éléphant au milieu de la pièce quand il s’agit d’évoquer MGS4. Faut dire que le bougre se traîne une sacrée réputation de film interactif encore aujourd’hui, avec ses tunnels de cinématiques qui peuvent parfois durer plus de 30 minutes, plusieurs fois durant l’aventure ! Bon alors tout ça, est-ce que c’était réellement nécessaire ? Clairement pas. Pour ma part, s’enfiler autant de cinématiques n’était pas spécialement pertinent avec ce qu’il restait à raconter, et je regrette le parfait équilibrage gameplay/cinématiques qui avait été trouvé dans MGS3. Là, clairement, Kojima se fait un énorme kiff en profitant à fond les ballons de toute la puissance de cette nouvelle PS3, et pourquoi pas après tout. C’est clairement une expérience unique en termes de jeu vidéo, j’ai jamais vu ça ailleurs. Sans compter que les cinématiques, encore aujourd’hui, sont d’une très grande qualité, avec plein de jeux de caméra dignes du cinéma, de l’action. Bref, MGS4, c’est avant tout un film très bien réalisé, avant d’être un jeu MGS.

De plus, je trouve ça un peu con, mais c’est dommage d’avoir autant de cinématiques dans un jeu où le scénario n’est pas forcément le plus convaincant. Bah ouais, je préfère encore et toujours l’intrigue parfaitement ciselée du troisième opus (toujours lui), plus simple peut-être, mais plus efficace, avec une intrigue solide et des personnages incroyablement charismatiques. Là, ce MGS4, c’est clairement un délire de Kojima qui s’amuse avant tout avec les personnages qu’il a créés tout au long de la saga, pour un fan service démesuré. C’est simple, on croirait le jeu écrit par un fan ado, une sorte de fan-fic mais au budget XXL, qui se permet d’y caser toutes les références possibles pour les gros fans, au détriment de la structure narrative, tant pis. C’est du fan service non-stop, avec par exemple le fameux Johnny, qui, là où c’était un personnage gag rigolo dans les anciens opus, devient ici un personnage secondaire majeur, mais qui continuera à être pathétique malgré lui, avec toujours ses problèmes d’intestins, mais X1000 ici. Ok, c’est rigolo les prouts, mais deux minutes quoi (bon ok, la cinématique où il passe devant nous avec le fut plein de merde m’a bien fait rire quand même). Ça ira encore plus loin avec une étrange cinématique interminable le mettant en scène lui et Meryl vers la fin du jeu, mais ça part complètement en couilles avec un Kojima en roue libre totale sur la réalisation, que c’était cringe ce moment.

Au début dubitatif, mais aucun doute, il est toujours aussi classe !

Après, je ne vais pas non plus bouder mon plaisir. Étant moi-même un profond admirateur de la saga, bien sûr que j’ai aimé toutes les petites références, le retour de tous les anciens personnages. C’est plaisant et facile, le fan service, je ne dis pas, mais niveau qualité d’écriture, voilà quoi… Donc oui, j’ai kiffé retrouver Raiden, qui est incroyablement stylé ici, au point que je pense que tout le monde aurait finalement bien aimé le rejouer, tant Old Snake a pris un coup de vieux à côté. J’ai aimé retrouver d’autres personnages oubliés de la saga, comme Meryl, ou encore Mei Ling, toujours aussi mignonne et adorable, mais qui là aussi, à zéro crédibilité dans son nouveau rôle de commandante d’un énorme navire de guerre. En vrai, ce MGS4, c’est comme si le scénario avait été fini d’être écrit, puis Kojima a débarqué et a dit : « Ok cool, mais maintenant je veux des références à tous les persos de la série, démerdez-vous pour les introduire dans le scénario… Ah, et je veux une scène de 2 minutes où Johnny fait prout sur Meryl ! ».

Les Vieilles Canailles

Hormis ça, j’ai sinon bien aimé l’aventure. Le scénario reste vraiment plaisant à suivre, et malgré tout ce fan service qu’on nous force à ingurgiter à la truelle, ça tient tout de même la route. Pour ma part, je n’ai pas eu de problème avec la longueur des cinématiques. J’ai bien soufflé deux-trois fois sur certaines qui abusaient clairement (j’ai parfois fait des sessions d’une heure de jeu pour y jouer réellement que dix minutes), mais ça allait, car je prenais bien mon temps sur les phases de gameplay pour expérimenter un max. J’ai adoré retrouver ce bon vieux Snake (c’est le cas de le dire). Un peu de mal à accrocher au début, car son coup de vieux lui ternit pas mal son aura de soldat légendaire, mais finalement j’ai très vite appris à l’apprécier, tant il reste charismatique. Surtout avec le fait de savoir que, avec ce vieillissement accéléré, il a toutes les chances d’y rester à la fin. J’étais profondément inquiet de comment ça allait finir pour lui. Par contre, j’ai pas du tout aimé son doublage. C’est pourtant toujours le même, mais je trouve que le doubleur en fait des caisses pour donner un aspect vieillissant au personnage. J’ai trouvé ça vraiment mal joué. On s’y fait, mais j’aurais préféré que la voix reste identique, juste plus fatiguée, essoufflée. Ça aurait été largement suffisant.

Puis je critique le fan service, mais il est tout de même agréable de retrouver l’intégralité des anciens personnages encore vivants dans la série. Ça a au moins le mérite d’apporter une conclusion vraiment satisfaisante à tout ce beau monde. Ocelot est toujours là à faire du Ocelot (je l’adore ce trou de balle), Johnny a la chiasse, on retrouve des vannes et des réf géniales sur Mantis, bref, on est à la maison, c’est vrai que c’est agréable aussi. Puis nom de dieu cette Act 4, incroyable. Bon alors, c’est sûr, niveau fan service, là on ne peut pas faire plus abusé, mais comme tout le monde je pense, c’était tellement bien exécuté que j’ai passé un moment incroyable. Que ce soit la petite surprise géniale au tout début de l’Act, ou encore le level design et le gameplay qui représente pour moi le meilleur du jeu, c’est un pur régal.

Tiens, si on prenait le perso blague de la saga, pour en faire un des personnages principaux du jeu ?

Et une autre facette plaisante de ce fan service, c’est tout l’aspect humoristique que ça apporte. Que ce soit ce moment où Otacon t’appelle pour te demander de changer de disque dans ce bel hommage à MGS1 (qui tenait sur deux disques), ou les appels de Codec tellement drôles avec le colonel durant un certain combat, j’ai rarement autant ri de bon cœur dans la saga. Puis il y a toutes ces petites bizarreries typiquement signées Kojima, comme cette idée de nous faire commencer le jeu en regardant des chaînes fictives de télé. Chacune des émissions (où il faudra faire plusieurs parties pour bien toutes les voir) est hallucinante tant c’est un énorme délire assez drôle, avec une esthétique si étrange, le tout filmé avec de vrais acteurs pour le coup. C’est tellement chelou qu’on croirait à des vidéos générées par IA typique, sauf que ça n’existait pas encore à l’époque pourtant ! Ah, et rien à voir mais je tenais à le dire : le singe de Drebin, best character ever de la série. Il m’a tellement fumé avec ses animations super bien travaillées, le voir piquer la clope de Snake, se balader avec une canette… c’était un délire là aussi, mais j’ai bien adhéré.

Quant à la fin du jeu, je l’ai trouvée excellente. Bon, faut clairement poser une journée de congé pour voir le bout des cinématiques, mais ça vaut le coup. Kojima ne cesse de nous surprendre, et le fera d’ailleurs jusqu’à la toute fin. On peut dire ce qu’on veut sur le bonhomme, mais on ressent une telle passion, un tel amour pour son œuvre, qu’il voulait vraiment que tout soit parfait pour le grand final (tant pis si ça doit prendre une heure), du jamais vu tout court dans un jeu vidéo. Une excellente conclusion à Snake, et à tous les autres personnages que j’ai tant aimé suivre durant les six jeux de la série. Impossible après ça de faire une suite, c’est d’ailleurs pourquoi les jeux suivants ce MGS4 repartiront dans le passé, pour continuer à approfondir le personnage de Big Boss, tant il serait sacrilège de trahir cette parfaite conclusion.

Un excellent Gameplay, manque plus que pouvoir y jouer avec

Mais bon, je sais bien que ce MGS4 est un film avant d’être un jeu, mais faut quand même que je parle un peu du Gameplay, car oui, il reste encore un peu de jeux vidéo dans tout ce bazar. Et là, quelle semi-déception concernant le Gameplay ! Alors attention, je ne veux pas dire par là qu’il est mauvais, au contraire, il est excellent et pourrait même surpasser celui de MGS3, si seulement le jeu se donnait la peine de l’exploiter pleinement. C’est simple : sur les cinq actes du jeu, deux sont des champs de bataille, un n’a pas vraiment d’action, un autre doit avoir que deux zones à traverser, et un enfin est une pure séance d’infiltration à l’ancienne. Oui, ça ne fait même pas un tiers du jeu comme à l’époque. Pour moi, c’est là le problème.

Les deux premiers actes sont vraiment particuliers à appréhender. On est clairement plongé en pleine guerre, mais on peut quand même faire de l’infiltration, même si clairement, le jeu nous pousse grandement à aller du côté action. Que ce soit via les respawns infinis des ennemis, un level design nous forçant à passer par des couloirs saturés d’ennemis, toute la composante infiltration est mise à mal, bancale même. Franchement, sur ma première partie sans connaissance des lieux, je n’arrivais tout simplement pas à rester planqué. Rien que la deuxième zone, pour aller récupérer notre équipement au début du jeu… mais quel calvaire avec les ennemis scripté qui spawn devant nous, bordel ! On a vraiment l’impression qu’on joue de la mauvaise façon quand on essaye d’être trop silencieux, un peu con quand même !

Mais après tout, pourquoi pas, et l’aspect action fonctionne vraiment bien, tant cet opus a peaufiné avec excellence toute cette composante afin de s’adapter. On peut enfin bouger Snake de manière bien plus fluide, comme pouvoir enfin se déplacer accroupi, une révolution ! On peut se déplacer facilement tout en visant, Papy Snake peut lui aussi faire du CQC (toujours aussi jouissif d’exploser le crâne des ennemis en les projetant au sol !). C’est limite con : faut attendre que Snake ait 60 balais et des maux de dos pour qu’il soit moins rigide, haha. Et si on ajoute à ça la très grande quantité d’armes disponibles en jeu (plus rien à voir avec les anciens opus), je me suis vraiment amusé avec tout ça. Pareil du côté des objets, il y en a en quantité pour varier les approches : que ce soit le baril, nouveau camouflage venant ringardiser la boîte en carton (toujours dispo cela dit) et vraiment fun à utiliser, la seringue pour rendre fous les soldats, toutes les armes secrètes bien rigolotes à utiliser comme ce mousquet japonais pouvant invoquer une tempête… c’est fun.

Oui oui, "you pretty good" je sais, par contre, tu peux arrêter de m'envoyer ta putain de fumée dans la tronche stp?

Cet aspect action fonctionne si bien que finalement je me suis bien pris au jeu, et j’ai assez apprécié les deux premiers actes malgré le fait que j’étais dubitatif. Que ce soit en s’infiltrant dans un bâtiment pour aller descendre les snipers planqués qui tirent sur nos alliés (d’ailleurs le système de factions, dommage que ça aille pas vraiment plus loin que cette esquisse), ou en restant planqué derrière un char allié pour progresser sans se faire voir, MGS4 arrive à proposer un autre type d’infiltration sur un champ de bataille. Ça fonctionne bien donc, même si l’exécution manque de précision, la faute à un level design assez ouvert mais paradoxalement truffé de goulots d’étranglement remplis d’ennemis qui respawn en boucle, cauchemardesque à passer en toute furtivité. Heureusement, la meilleure zone du jeu, qui se situe à la fin de l’acte 2, relève grandement le niveau : dans une zone aride où il faudra passer de nombreux pièges tendus par nos ennemis sur le chemin. Juste génial ce passage, on retrouve les meilleures vibes de MGS3.

L’acte 3, quant à lui, est vraiment nul à chier par contre. Pfiou, quel enfer. On est dans un environnement urbain de nuit, préservé de la guerre (donc là aussi assez original) où il faudra filer un membre d’une résistance locale. Sauf que c’est long, interminable, pénible… là clairement, c’est un gros loupé en termes de Game Design. Puis comme j’ai refait le jeu plusieurs fois pour avoir le 100 %, chaque retour à cet acte était une pure torture. Ce chapitre sera au moins l’occasion de bien profiter du fucking iPod intégré au jeu (!), un excellent ajout avec plein de bonnes musiques de la saga et d’autres jeux de Konami. Une très bonne idée, parfait quand on refait le jeu. Puis ça peut donner des séquences vraiment rigolotes quand tu écoutes une musique de K-Pop piquée à Sunny durant un briefing, avec en fond une cutscene où des soldats se tirent dessus.

Bon, je ne vais pas revenir sur l’acte 4 qui est la pierre angulaire de cet opus. Que ce soit en termes d’ambiance, de Gameplay ou de scénario, c’est la partie du jeu qui fait le plus Metal Gear, et j’ai beau aimer quand les suites prennent des risques en changeant de style, putain que j’ai kiffé. L’acte 5, quant à lui, est très court, et c’est plus une grosse conclusion avec quelques scènes d’action finales. Donc pour résumer grossièrement : acte 4 incroyable, les 1 et 2 assez cool, et le 3, caca prout de Johnny. Et je trouve ça dommage cette qualité en dents de scie : le Gameplay est pourtant si excellent quand il se laisse jouer… juste dommage de pas pouvoir plus en profiter. J’aurais bien troqué 3h de cinématiques contre du Gameplay.

Le dernier des Big Boss !!

Au sujet des à-côtés, c’est un peu dommage. Après l’insolent contenu annexe de MGS2, le très fun de MGS3, ben là, y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pas de mode annexe genre boss rush, missions VR ou encore petit mode rigolo, on n’aura pas d’autre choix que de refaire la campagne principale en boucle, encore et encore. Le New Game+ sera donc le seul moyen de prolonger l’expérience, en permettant de conserver toutes nos armes, argents, objets et camouflages. Mouais… Le seul truc vraiment à débloquer sur le long terme via les New Game+, c’est de cumuler les emblèmes pour ceux qui ont le courage. C’est ici qu’on retrouvera le classique rang Big Boss d’ailleurs, mais il y en aura aussi bien d’autres avec un paquet de prérequis différents. Mais mis à part le Big Boss, même avec des gants Mappa, je ne touche pas au reste, et jamais je n’essayerai de tous les avoir, tellement c’est nul à chier. Genre l’emblème poulet, tu sais ce qu’il faut faire pour l’avoir ? Il faut, en une partie, déclencher 150 alertes, tuer plus de 500 ennemis (donc farmer les respawns en boucle à ce niveau-là), 50 continues, 50 objets de soin utilisés, et une session de plus de 35h de jeu. Le tout, en une run.

MAIS BORDEL, c’est quoi le but ? L’exemple parfait du 100% qui va trop loin, qui aspire la moindre parcelle de fun.

Le combat de boss le plus cool du jeu

Nan, au orties cette merde, moi, seul le rang Big Boss m’intéresse, et c’est le dernier opus qu’il me restait à faire pour accomplir ce challenge : avoir le Big Boss sur tous les jeux de la saga. Et c’est chose faite ! Bon, c’est assez aisé ici, le simple fait de pouvoir sauvegarder à l’infini réduit considérablement le challenge, limite on sent que Kojima cherche encore à se faire pardonner du traumatisme qu’il a causé avec le rang Big Boss de MGS2 ! Ça a donc été assez simple pour moi, surtout que je l’ai fait en New Game+. Peut-être que je n’aurais pas dû et refaire une nouvelle partie pour un challenge complet, mais je voulais vraiment profiter à fond de toutes les possibilités, pour le fun. Seul le cauchemardesque passage de la moto a été une vraie purge à traverser, tellement pas pensé pour être fait en difficulté max sans soin. Ça a été un pur enfer. Entre les véhicules qui t’enlèvent 50% de ta vie dès qu’ils apparaissent, les soldats de partout ingérables avec le pistolet tranquillisant, je bénis le Solar Gun pour m’avoir sauvé dans ce calvaire. Mais à part ça, tout le reste est vraiment simple, mis à part quelques accrocs sur les deux premiers actes, vraiment laborieux à parcourir en full discrétion.

Et c’est tout. J’ai juste fait aussi une autre partie comme à mon habitude pour y voir tous les petits secrets que j’ai loupés. Mais comme pour le contenu annexe, ce MGS4 est là aussi un peu plus timide. On est loin de la folie de MGS2 avec ses centaines d’interactions géniales planquées un peu partout en jeu. Malgré tout, cet opus ne trahit pas la tradition, car il en reste pas mal, et certains sont vraiment funs. Par exemple, Snake peut se faire passer pour une statue (jusqu’à casser le pénis de la statue voisine, ça m’a fumé), les Beauty qui prennent la pose pour les photos, regarder le cul de Meryl pour augmenter sa barre psy (je te jure que c’est vrai !). Bref, y a plein de trucs cool. Un des plus géniaux, c’est peut-être celui avec Vamp, qui peut être tué en un coup avec le Solar Gun, arme secrète tirée d’un jeu de Kojima sur GBA, où il fallait justement tuer des vampires avec !


Une excellente conclusion pour une saga décidément unique en son genre, où chaque jeu a sa propre aura. Pour ce MGS4, je n’ai pas su retrouver l’excellence du Gameplay de MGS3, qui n’arrive pas à se dévoiler pleinement malgré ses qualités, trop comprimé entre deux cinématiques. Mon attachement à tout ce beau monde m’a fait suivre malgré tout l’histoire avec un grand plaisir, et vous me direz, c’est le principal… quand on regarde un film.

8/10

visage du gardien de Ultima 7

Un jeu formidable qui m'inspire, j'en ai d'ailleurs écrit une chanson épique que je chante parfois à la taverne de Jhelom !
Bien que le créateur de ce site (qui semblerait venir du même monde que l'Avatar d'après les légendes) ne place pas ce jeu parmi ses plus grands coups de cœur, il y a tout de même passé un excellent moment !
Au passage, êtes-vous au courant que j'ouvre une nouvelle boutique d'archeries à Buccaneer's Den, en face des bains ?