menu close

SKORN OF BANANA



visage du gardien de Ultima 7

Mon journal intime (bien flingué) du jeu vidéo. Drogué à la dopamine procuré par le média depuis mon enfance, je partage mes avis, critiques et tests de bon goût sur tous les jeux que je fais, récents comme anciens.

Qu'est ce que qui rend mon site intéréssant et unique hormis ma plume exceptionelle? Je suis un grand passioné de vrais jeux rétros (années 80) et je partage aussi du contenu sur des grandes sagas oubliées, comme Ultima, Wizardry ou encore Zork, séries dont le contenu est quasi inexistant sur le web francophone.


image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 6 / 10

Année de sortie : 1986

Genre : CRPG

The Bard's Tale II: The Destiny Knight

C’est un peu relou ces suites de CRPG ultra hardcore pour rien, non ?


Je poursuis ma redécouverte de la saga via la version Trilogy, qui modernise grandement la formule. J’ai pris un grand plaisir à parcourir de nouveau les rues froides et hostiles de Skara Brae dans le premier épisode. Je suis donc vite passé à la suite, mais on est en 1985, et à cette époque, les suites de CRPG… eh bien, elles ne faisaient vraiment pas de cadeau !

publié il y a 19 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

The Bard's Tale II: The Destiny Knight

C’est un peu relou ces suites de CRPG ultra hardcore pour rien, non ?

Année de sortie : 1986

Genre : CRPG

Note : 6 / 10


Je poursuis ma redécouverte de la saga via la version Trilogy, qui modernise grandement la formule. J’ai pris un grand plaisir à parcourir de nouveau les rues froides et hostiles de Skara Brae dans le premier épisode. Je suis donc vite passé à la suite, mais on est en 1985, et à cette époque, les suites de CRPG… eh bien, elles ne faisaient vraiment pas de cadeau !

publié il y a 19 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 9 / 10

Année de sortie : 2023

Genre : Rogue-like

Valhalla (extension de God of War: Ragnarök)

show me mastery


Nom de diou, quelle est cette sorte d’anomalie sortie tout droit d’un autre temps ?! Voilà que Santa Monica nous sort comme ça gratuitement un bon gros DLC, voire une extension à ce niveau, totalement gratuitement et qui est qualitativement foutrement incroyable, teintée d’une bonne grosse couche de fan service pour les fans de la première heure, ce qui n’a pas été sans effet sur le taux d’humidité dans mon caleçon. Mais d’où vous nous respectez autant, nous les joueurs, Santa Monica ? De quel droit vous vous permettez de m’offrir une vingtaine d’heures de gameplay divin comme ça, gratuitement, alors que n’importe quel studio de merde comme Ubisoft nous aurait pondu une merde bâclée à la place contre de l’argent ? POURQUOI ?? IL Y A UN PIÈGE QUELQUE PART ?! J’EXIGE DES RÉPONSES !!

publié il y a 24 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

Valhalla (extension de God of War: Ragnarök)

show me mastery

Année de sortie : 2023

Genre : Rogue-like

Note : 9 / 10


Nom de diou, quelle est cette sorte d’anomalie sortie tout droit d’un autre temps ?! Voilà que Santa Monica nous sort comme ça gratuitement un bon gros DLC, voire une extension à ce niveau, totalement gratuitement et qui est qualitativement foutrement incroyable, teintée d’une bonne grosse couche de fan service pour les fans de la première heure, ce qui n’a pas été sans effet sur le taux d’humidité dans mon caleçon. Mais d’où vous nous respectez autant, nous les joueurs, Santa Monica ? De quel droit vous vous permettez de m’offrir une vingtaine d’heures de gameplay divin comme ça, gratuitement, alors que n’importe quel studio de merde comme Ubisoft nous aurait pondu une merde bâclée à la place contre de l’argent ? POURQUOI ?? IL Y A UN PIÈGE QUELQUE PART ?! J’EXIGE DES RÉPONSES !!

publié il y a 24 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 9 / 10

Année de sortie : 2022

Genre : Beatem up

God of War: Ragnarök

L’Olympe, check. Asgard… Hum, bientôt check.


C’était tout de même un sacré bon jeu, ce GOW 2018. Je l’avais découvert durant ma rétrospective de l’intégralité de la série (sans prendre en compte les spin-off pas ouf, oups, je les ai oubliés, quel gros bêta je fais !), et on peut dire qu’aucun jeu de la saga ne m’a jamais déçu. Ce renouveau opéré sur la saga en 2018 était des plus couillus de la part de Santa Monica, et même si je n’étais pas aussi enthousiaste que la presse, qui lui attribuait de partout la note parfaite, c’était un putain de sacré bon jeu. Mais ce Ragnarok, eh bien lui… Nan, là aussi, je vous fais marcher. Cette suite, malgré des petits défauts, est incroyable. SURTOUT avec son DLC gratuit !

publié il y a 24 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

God of War: Ragnarök

L’Olympe, check. Asgard… Hum, bientôt check.

Année de sortie : 2022

Genre : Beatem up

Note : 9 / 10


C’était tout de même un sacré bon jeu, ce GOW 2018. Je l’avais découvert durant ma rétrospective de l’intégralité de la série (sans prendre en compte les spin-off pas ouf, oups, je les ai oubliés, quel gros bêta je fais !), et on peut dire qu’aucun jeu de la saga ne m’a jamais déçu. Ce renouveau opéré sur la saga en 2018 était des plus couillus de la part de Santa Monica, et même si je n’étais pas aussi enthousiaste que la presse, qui lui attribuait de partout la note parfaite, c’était un putain de sacré bon jeu. Mais ce Ragnarok, eh bien lui… Nan, là aussi, je vous fais marcher. Cette suite, malgré des petits défauts, est incroyable. SURTOUT avec son DLC gratuit !

publié il y a 24 jours

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 8 / 10

Année de sortie : 2024

Genre : JRPG

Shadow of the Erdtree (extension de Elden Ring)

Quand la difficulté justifie les moyens


Deux ans plus tard, il est temps de reprendre du service, de remettre le pied à l’étrier, sur mon mi-cheval/mi-bouquetin, pour découvrir les terres du royaume des ombres. Toujours aussi fascinant, toujours aussi brutal, toujours aussi magnifique, le royaume des ombres n’en est pas moins le prolongement naturel d’une aventure qui m’a déjà scotché quasiment 150 heures devant mon écran pour en voir le bout. Et voilà qu’on repart pour 40 heures de plus… Et franchement, je vous le demande, après Malenia, qu’est-ce que l’extension pourra faire pour marquer encore plus les esprits en termes de difficulté ?... Oui, pardon ? Tu dis qu’il y a un boss deux fois plus dur que cette pute putride dans cette extension ? Ok, là, tu m’intrigues…

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Shadow of the Erdtree (extension de Elden Ring)

Quand la difficulté justifie les moyens

Année de sortie : 2024

Genre : JRPG

Note : 8 / 10


Deux ans plus tard, il est temps de reprendre du service, de remettre le pied à l’étrier, sur mon mi-cheval/mi-bouquetin, pour découvrir les terres du royaume des ombres. Toujours aussi fascinant, toujours aussi brutal, toujours aussi magnifique, le royaume des ombres n’en est pas moins le prolongement naturel d’une aventure qui m’a déjà scotché quasiment 150 heures devant mon écran pour en voir le bout. Et voilà qu’on repart pour 40 heures de plus… Et franchement, je vous le demande, après Malenia, qu’est-ce que l’extension pourra faire pour marquer encore plus les esprits en termes de difficulté ?... Oui, pardon ? Tu dis qu’il y a un boss deux fois plus dur que cette pute putride dans cette extension ? Ok, là, tu m’intrigues…

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 9 / 10

Année de sortie : 2022

Genre : Plateforme

The Delicious Last Course (extension de Cuphead)

La coupe est pleine


Il était plus que temps que je découvre enfin cette extension, pour laquelle, miraculeusement, j’avais réussi à éviter tous les spoilers de boss sur le net (au point même de ne pas regarder la bande-annonce à l’époque, alors que ce n’était pas l’envie qui me manquait !). Tout au plus, j’avais en tête l’image vague d’un géant dans un paysage enneigé dont j’avais dû voir une image malgré moi, me laissant imaginer un combat de boss redoutable. Redoutable, c’est bien un des deux mots pour qualifier ce DLC, l’autre étant incroyable, magnifique, parfait, à tomber par terre, « s’il faut sucer pour avoir un autre DLC comme ça, dites-moi tout de suite où qu’on signe !», magistral… Oui, j’ai triché, mais comme si on pouvait résumer une telle extension en deux mots !

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

The Delicious Last Course (extension de Cuphead)

La coupe est pleine

Année de sortie : 2022

Genre : Plateforme

Note : 9 / 10


Il était plus que temps que je découvre enfin cette extension, pour laquelle, miraculeusement, j’avais réussi à éviter tous les spoilers de boss sur le net (au point même de ne pas regarder la bande-annonce à l’époque, alors que ce n’était pas l’envie qui me manquait !). Tout au plus, j’avais en tête l’image vague d’un géant dans un paysage enneigé dont j’avais dû voir une image malgré moi, me laissant imaginer un combat de boss redoutable. Redoutable, c’est bien un des deux mots pour qualifier ce DLC, l’autre étant incroyable, magnifique, parfait, à tomber par terre, « s’il faut sucer pour avoir un autre DLC comme ça, dites-moi tout de suite où qu’on signe !», magistral… Oui, j’ai triché, mais comme si on pouvait résumer une telle extension en deux mots !

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 9 / 10

Année de sortie : 2017

Genre : Plateforme

Cuphead

Fichtre, que c’est beau !


Avec la sortie de l’extension, il était plus que temps que je retourne sur Cuphead, que j’avais déjà terminé à 100 % il y a bien quelques années maintenant. Histoire de me remettre dans le bain et de goûter à la nouvelle fournée, cuite à point, apportée par le DLC, je me suis refait une run du jeu de base dans son intégralité. Et bah, ce jeu reste toujours aussi incroyable !

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Cuphead

Fichtre, que c’est beau !

Année de sortie : 2017

Genre : Plateforme

Note : 9 / 10


Avec la sortie de l’extension, il était plus que temps que je retourne sur Cuphead, que j’avais déjà terminé à 100 % il y a bien quelques années maintenant. Histoire de me remettre dans le bain et de goûter à la nouvelle fournée, cuite à point, apportée par le DLC, je me suis refait une run du jeu de base dans son intégralité. Et bah, ce jeu reste toujours aussi incroyable !

publié il y a un mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 8 / 10

Année de sortie : 1985

Genre : CRPG

The Bard's Tale: Tales of the Unknown

Le Dungeon crawler dont les bardes chantent encore les louanges


1985. On a eu quoi comme RPG marquant à cette époque ? Eh bien, c’est simple. D'un côté, on a le classique Wizardry, qui, avec déjà trois épisodes, a fondé les bases solides du sous-genre Dungeon Crawler case par case, et qui fait un véritable carton. On a aussi Ultima, une des meilleures sagas de RPG de tous les temps, qui s’oriente plus vers du monde ouvert, avec son propre style, s’éloignant rapidement du style de Wizardry. Deux sagas qui ont eu un énorme succès en Amérique, avec des joueurs qui en redemandent, notamment du côté de Wizardry, étant assez proche de Donjons et Dragons, licence qui fait fureur au pays de l’Oncle Sam. « Ah ben attendez, on arrive ! » s’esclaffa Interplay à cette époque, conscient qu’il serait bête de passer à côté du filon. C’est ainsi qu’on obtient en 1985, Bard’s Tale premier du nom, un quasi parfait clone de Wizardry, mais avec une couche de monde ouvert quand même. Bah oui, là tout de suite, ce n’est plus pareil !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

The Bard's Tale: Tales of the Unknown

Le Dungeon crawler dont les bardes chantent encore les louanges

Année de sortie : 1985

Genre : CRPG

Note : 8 / 10


1985. On a eu quoi comme RPG marquant à cette époque ? Eh bien, c’est simple. D'un côté, on a le classique Wizardry, qui, avec déjà trois épisodes, a fondé les bases solides du sous-genre Dungeon Crawler case par case, et qui fait un véritable carton. On a aussi Ultima, une des meilleures sagas de RPG de tous les temps, qui s’oriente plus vers du monde ouvert, avec son propre style, s’éloignant rapidement du style de Wizardry. Deux sagas qui ont eu un énorme succès en Amérique, avec des joueurs qui en redemandent, notamment du côté de Wizardry, étant assez proche de Donjons et Dragons, licence qui fait fureur au pays de l’Oncle Sam. « Ah ben attendez, on arrive ! » s’esclaffa Interplay à cette époque, conscient qu’il serait bête de passer à côté du filon. C’est ainsi qu’on obtient en 1985, Bard’s Tale premier du nom, un quasi parfait clone de Wizardry, mais avec une couche de monde ouvert quand même. Bah oui, là tout de suite, ce n’est plus pareil !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 7 / 10

Année de sortie : 1985

Genre : Aventure

King's Quest II: Romancing the Throne

Le retour du roi, et le roi, il a les couilles pleines


King’s Quest premier du nom était pour moi une excellente surprise. Grand habitué des très vieux jeux d’aventures (à commencer par les textuels, qui ont le mérite de ne pas pouvoir être moches vous me direz), bien que Sierra eût déjà pour habitude d’utiliser les graphismes pour apporter un peu de modernisation à un genre purement textuel, il fallait avouer que je préférais toujours les jeux d’Infocom, sans graphismes, que j’ai toujours trouvés mieux écrits, avec des énigmes plus rodées. Puis enfin, le premier King’s Quest arrive, qui utilise réellement les graphismes pour la première fois pour qu’ils soient au centre du gameplay et non plus seulement pour faire joli et pour quelques énigmes au mieux, en plus d’apporter d’autres très chouettes idées modernisant le genre. C’est donc une évolution majeure des eux d’aventure qu’on constate avec ce premier opus, que j’ai bien apprécié. Tant mieux que de l’ai adoré d’ailleurs, car avec ce second opus, c’est tout pareil !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

King's Quest II: Romancing the Throne

Le retour du roi, et le roi, il a les couilles pleines

Année de sortie : 1985

Genre : Aventure

Note : 7 / 10


King’s Quest premier du nom était pour moi une excellente surprise. Grand habitué des très vieux jeux d’aventures (à commencer par les textuels, qui ont le mérite de ne pas pouvoir être moches vous me direz), bien que Sierra eût déjà pour habitude d’utiliser les graphismes pour apporter un peu de modernisation à un genre purement textuel, il fallait avouer que je préférais toujours les jeux d’Infocom, sans graphismes, que j’ai toujours trouvés mieux écrits, avec des énigmes plus rodées. Puis enfin, le premier King’s Quest arrive, qui utilise réellement les graphismes pour la première fois pour qu’ils soient au centre du gameplay et non plus seulement pour faire joli et pour quelques énigmes au mieux, en plus d’apporter d’autres très chouettes idées modernisant le genre. C’est donc une évolution majeure des eux d’aventure qu’on constate avec ce premier opus, que j’ai bien apprécié. Tant mieux que de l’ai adoré d’ailleurs, car avec ce second opus, c’est tout pareil !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 8 / 10

Année de sortie : 1998

Genre : Reflexion

Les Incroyables Machines du Professeur Tim

Sans doute le Puzzle Game le plus original du XXᵉ siècle !


On n'est pas nombreux à avoir connu ce jeu à l’époque, mais je fais partie de cette frange de joueurs l’ayant découvert à l’époque durant mon enfance, sur le bon vieux iMac G3 parental. Un jeu dont j’avais gardé d'excellents souvenirs, où il fallait concevoir des machines de Rube Goldberg (une machine complexe pour une chose très simple), en créant des réactions en chaîne rigolotes, parfois d’une grande absurdité. J’y ai remis le nez dedans il y a peu, histoire de me replonger un peu dans une nostalgie rapide... Sauf que j’ai tellement adoré, j’ai finalement fait tout le jeu dans son intégralité, et ce qui devait être un petit shoot rapide de nostalgie s’est transformé en de longues et passionnantes sessions de jeu !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Les Incroyables Machines du Professeur Tim

Sans doute le Puzzle Game le plus original du XXᵉ siècle !

Année de sortie : 1998

Genre : Reflexion

Note : 8 / 10


On n'est pas nombreux à avoir connu ce jeu à l’époque, mais je fais partie de cette frange de joueurs l’ayant découvert à l’époque durant mon enfance, sur le bon vieux iMac G3 parental. Un jeu dont j’avais gardé d'excellents souvenirs, où il fallait concevoir des machines de Rube Goldberg (une machine complexe pour une chose très simple), en créant des réactions en chaîne rigolotes, parfois d’une grande absurdité. J’y ai remis le nez dedans il y a peu, histoire de me replonger un peu dans une nostalgie rapide... Sauf que j’ai tellement adoré, j’ai finalement fait tout le jeu dans son intégralité, et ce qui devait être un petit shoot rapide de nostalgie s’est transformé en de longues et passionnantes sessions de jeu !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Note : 7 / 10

Année de sortie : 2004

Genre : Plateforme

Jak 3

Cette fois-ci, c’est la bonne !


Pfiou, quelle purge c’était ce Jak 2 ! Quelle déception, moi qui avais hâte de découvrir cette suite que j’avais loupée durant mon enfance, quelle douche froide ça a été lors de ma découverte du titre en 2024 ! Sûrement une de mes plus grosses déceptions concernant une suite, surtout après la maestria du premier épisode. Mais je suis têtu, j’ai continué à persévérer avec ce Jak 3, encouragé par les conseils d’un pote qui les a tous faits à l’époque (force à lui) qui me disait ‘mais si tu verras, celui-là il corrige tous les défauts du 2 !’… Bien après l’avoir fini, forcé de constater qu’il avait bien raison le salaud !

publié il y a 2 mois

image de Ultima 1 dans un donjon

Jak 3

Cette fois-ci, c’est la bonne !

Année de sortie : 2004

Genre : Plateforme

Note : 7 / 10


Pfiou, quelle purge c’était ce Jak 2 ! Quelle déception, moi qui avais hâte de découvrir cette suite que j’avais loupée durant mon enfance, quelle douche froide ça a été lors de ma découverte du titre en 2024 ! Sûrement une de mes plus grosses déceptions concernant une suite, surtout après la maestria du premier épisode. Mais je suis têtu, j’ai continué à persévérer avec ce Jak 3, encouragé par les conseils d’un pote qui les a tous faits à l’époque (force à lui) qui me disait ‘mais si tu verras, celui-là il corrige tous les défauts du 2 !’… Bien après l’avoir fini, forcé de constater qu’il avait bien raison le salaud !

publié il y a 2 mois