Mon journal intime (bien flingué) du jeu vidéo. Drogué à la dopamine procuré par le média depuis mon enfance, je partage mes avis, critiques et tests de bon goût sur tous les jeux que je fais, récents comme anciens.
Qu'est ce que qui rend mon site intéréssant et unique hormis ma plume exceptionelle? Je suis un grand passioné de vrais jeux rétros (années 80) et je partage aussi du contenu sur des grandes sagas oubliées, comme Ultima, Wizardry ou encore Zork, séries dont le contenu est quasi inexistant sur le web francophone.
Note : 7 / 10
Année de sortie : 1986
Genre : Aventure
Space Quest: The Sarien Encounter
Du King’s Quest mais en plus linéaire… Ah, et dans l’espace aussi
Je commence de plus en plus à apprécier les jeux de Sierra. Devenu assez érudit en matière de jeux d’aventure depuis leurs débuts au début des années 80, on peut remarquer facilement qu’il existe deux écoles majeures : celle d’Infocom, entièrement textuelle, qui a mal vieilli mais reste la référence absolue de ce genre spécifique, et celle de Sierra, résolument tournée vers des aventures graphiques, aux énigmes plus simples. Et nous voilà rendus en 1986, où Infocom devient ringard, alors que Sierra sort une nouvelle aventure dans l’espace, qui continue de poser les bases de ce que deviendront plus tard les point-and-click.
publié il y a un jour
Space Quest: The Sarien Encounter
Du King’s Quest mais en plus linéaire… Ah, et dans l’espace aussi
Année de sortie : 1986
Genre : Aventure
Note : 7 / 10
Je commence de plus en plus à apprécier les jeux de Sierra. Devenu assez érudit en matière de jeux d’aventure depuis leurs débuts au début des années 80, on peut remarquer facilement qu’il existe deux écoles majeures : celle d’Infocom, entièrement textuelle, qui a mal vieilli mais reste la référence absolue de ce genre spécifique, et celle de Sierra, résolument tournée vers des aventures graphiques, aux énigmes plus simples. Et nous voilà rendus en 1986, où Infocom devient ringard, alors que Sierra sort une nouvelle aventure dans l’espace, qui continue de poser les bases de ce que deviendront plus tard les point-and-click.
publié il y a un jour
Note : 9 / 10
Année de sortie : 1998
Genre : Infiltration
Metal Gear Solid
Psycho Mantis, c’était quand même quelque chose…
Si encore je pouvais jouer les puristes lors de mes deux critiques sur les premiers jeux de la saga, ici, fini de rigoler. Cet épisode est probablement l’un des plus connus de la saga, un jeu mythique de l’ère PlayStation, qui, avec ses nombreuses excellentes idées de gameplay, a apporté beaucoup au média, notamment du côté de l’infiltration, un genre qui me tient particulièrement à cœur. Allez, c’est reparti pour un Metal, mais cette fois, enfin en 3D !
publié il y a 6 jours
Metal Gear Solid
Psycho Mantis, c’était quand même quelque chose…
Année de sortie : 1998
Genre : Infiltration
Note : 9 / 10
Si encore je pouvais jouer les puristes lors de mes deux critiques sur les premiers jeux de la saga, ici, fini de rigoler. Cet épisode est probablement l’un des plus connus de la saga, un jeu mythique de l’ère PlayStation, qui, avec ses nombreuses excellentes idées de gameplay, a apporté beaucoup au média, notamment du côté de l’infiltration, un genre qui me tient particulièrement à cœur. Allez, c’est reparti pour un Metal, mais cette fois, enfin en 3D !
publié il y a 6 jours
Note : 7 / 10
Année de sortie : 2016
Genre : CRPG
Siege of Dragonspear (extension de Baldur's Gate)
Le titre de l’extension qui ne ment pas sur la marchandise
Voici un phénomène très rare dans le monde du jeu vidéo, voyez plutôt : un jeu vieux de quasiment 20 ans (lors de la sortie de la version EE) se voit gratifié non seulement de nouveaux contenus mineurs durant l’aventure principale, mais aussi d’une véritable nouvelle aventure, sous la forme d’une extension bien copieuse ma foi. S’intercalant entre les deux épisodes de la saga et se poursuivant directement après la fin du premier, un « Throne of Bhaal », mais pour le premier jeu en quelque sorte. Si l’aventure n’est pas un indispensable, elle a le mérite d’apporter son lot de nouvelles situations et des combats particulièrement massifs, chose jamais vue à l’époque (car ce n’était pas possible techniquement, surtout pour ça).
publié il y a 23 jours
Siege of Dragonspear (extension de Baldur's Gate)
Le titre de l’extension qui ne ment pas sur la marchandise
Année de sortie : 2016
Genre : CRPG
Note : 7 / 10
Voici un phénomène très rare dans le monde du jeu vidéo, voyez plutôt : un jeu vieux de quasiment 20 ans (lors de la sortie de la version EE) se voit gratifié non seulement de nouveaux contenus mineurs durant l’aventure principale, mais aussi d’une véritable nouvelle aventure, sous la forme d’une extension bien copieuse ma foi. S’intercalant entre les deux épisodes de la saga et se poursuivant directement après la fin du premier, un « Throne of Bhaal », mais pour le premier jeu en quelque sorte. Si l’aventure n’est pas un indispensable, elle a le mérite d’apporter son lot de nouvelles situations et des combats particulièrement massifs, chose jamais vue à l’époque (car ce n’était pas possible techniquement, surtout pour ça).
publié il y a 23 jours
Note : 8 / 10
Année de sortie : 1998
Genre : CRPG
Baldur's Gate
Je révise mes classiques
Parcourant actuellement le continent de Faerûn via l’incroyable Baldur’s Gate 3, je tenais quand même à retrouver un de mes plus grands amours du CRPG. Je parle bien évidemment de la sainte époque de Bioware, biiiiiiiiiien loin de ce qu’est devenu le studio aujourd’hui : une époque où Bioware régnait en maître absolu dans le monde du CRPG, avec les deux immenses jeux de sa saga Baldur’s Gate qui, coup sur coup, ont chacun façonné les codes et mécaniques des RPG encore en vigueur aujourd’hui. Allez, trêve de grivoiseries, et c’est reparti pour la boucle Baldur’s Gate !
publié il y a 24 jours
Baldur's Gate
Je révise mes classiques
Année de sortie : 1998
Genre : CRPG
Note : 8 / 10
Parcourant actuellement le continent de Faerûn via l’incroyable Baldur’s Gate 3, je tenais quand même à retrouver un de mes plus grands amours du CRPG. Je parle bien évidemment de la sainte époque de Bioware, biiiiiiiiiien loin de ce qu’est devenu le studio aujourd’hui : une époque où Bioware régnait en maître absolu dans le monde du CRPG, avec les deux immenses jeux de sa saga Baldur’s Gate qui, coup sur coup, ont chacun façonné les codes et mécaniques des RPG encore en vigueur aujourd’hui. Allez, trêve de grivoiseries, et c’est reparti pour la boucle Baldur’s Gate !
publié il y a 24 jours
Note : 9 / 10
Année de sortie : 1990
Genre : Infiltration
Metal Gear 2: Solid Snake
Le Demake de Metal Gear Solid 1
Il y a quand même des foutues injustices dans le monde du jeu vidéo, ou devrais-je dire plutôt des choix particuliers dans le marketing et les stratégies de vente. Voyez cette suite de Metal Gear : le premier jeu a très bien fonctionné, et malgré un portage NES éclaté au sol, le jeu avait eu un vrai petit impact à l’international grâce à de nouvelles mécaniques d’infiltration jamais vues ailleurs, malgré sa version de base sur MSX, cantonnée au Japon. Alors on fait une suite à ce jeu, qui est incroyable, qui apporte encore son lot d’innovations, et… bah on la sort qu’au Japon, sur une console peu populaire. Mais bordel, pourquoi ?!
publié il y a un mois
Metal Gear 2: Solid Snake
Le Demake de Metal Gear Solid 1
Année de sortie : 1990
Genre : Infiltration
Note : 9 / 10
Il y a quand même des foutues injustices dans le monde du jeu vidéo, ou devrais-je dire plutôt des choix particuliers dans le marketing et les stratégies de vente. Voyez cette suite de Metal Gear : le premier jeu a très bien fonctionné, et malgré un portage NES éclaté au sol, le jeu avait eu un vrai petit impact à l’international grâce à de nouvelles mécaniques d’infiltration jamais vues ailleurs, malgré sa version de base sur MSX, cantonnée au Japon. Alors on fait une suite à ce jeu, qui est incroyable, qui apporte encore son lot d’innovations, et… bah on la sort qu’au Japon, sur une console peu populaire. Mais bordel, pourquoi ?!
publié il y a un mois
Note : 7 / 10
Année de sortie : 2018
Genre : CRPG
The Bard's Tale IV: Barrows Deep
C’est un peu long sur la fin non ?
On peut dire que je fais partie des vrais, des TRUE, ceux qui ont fait la trilogie originale, que ce soit dans sa version d’époque ou la Trilogy. Bon, ok, je ne l’ai pas connue à l’époque où les jeux sont sortis (putain, encore heureux, je n’étais même pas née), mais au même titre que tous les vieux barbus qui ont financé le jeu sur Kickstarter à l’époque, cette suite tardive m’a plus qu’intrigué. Enfin une vraie suite à cette saga culte du CRPG, pour laquelle j’ai toujours eu beaucoup d’affection. Bon, ok, je suis un gros rapiat et j’arrive bien après la période de financement pour choper le jeu en promo, mais ça ne veut pas dire pour autant que je ne me suis pas investi dans l’aventure. Le problème est là justement : j’en ai peut-être passé un peu trop de mon temps dans cette nouvelle aventure…
publié il y a un mois
The Bard's Tale IV: Barrows Deep
C’est un peu long sur la fin non ?
Année de sortie : 2018
Genre : CRPG
Note : 7 / 10
On peut dire que je fais partie des vrais, des TRUE, ceux qui ont fait la trilogie originale, que ce soit dans sa version d’époque ou la Trilogy. Bon, ok, je ne l’ai pas connue à l’époque où les jeux sont sortis (putain, encore heureux, je n’étais même pas née), mais au même titre que tous les vieux barbus qui ont financé le jeu sur Kickstarter à l’époque, cette suite tardive m’a plus qu’intrigué. Enfin une vraie suite à cette saga culte du CRPG, pour laquelle j’ai toujours eu beaucoup d’affection. Bon, ok, je suis un gros rapiat et j’arrive bien après la période de financement pour choper le jeu en promo, mais ça ne veut pas dire pour autant que je ne me suis pas investi dans l’aventure. Le problème est là justement : j’en ai peut-être passé un peu trop de mon temps dans cette nouvelle aventure…
publié il y a un mois
Note : 8 / 10
Année de sortie : 1987
Genre : Infiltration
Metal Gear
Le jeu qui a popularisé un de mes genres préférés, l’infiltration
Enfin, je m’attaque au bousin, au vénérable ancêtre. Pris d’une pulsion de parcourir l’intégralité des jeux principaux de la saga, plein d’étoiles dans les yeux rien qu’à penser remettre mes mains sur MGS 2 et 3, je me suis pris la collection sur PC, car celle-ci part depuis le début. Le tout tout début, où le "Solid" n’avait pas encore sa place, avec un titre intitulé sobrement Metal Gear, sorti sur une console japonaise, passant totalement inaperçu chez nous. Il est plus que temps de faire un petit cours de rattrapage !
publié il y a un mois
Metal Gear
Le jeu qui a popularisé un de mes genres préférés, l’infiltration
Année de sortie : 1987
Genre : Infiltration
Note : 8 / 10
Enfin, je m’attaque au bousin, au vénérable ancêtre. Pris d’une pulsion de parcourir l’intégralité des jeux principaux de la saga, plein d’étoiles dans les yeux rien qu’à penser remettre mes mains sur MGS 2 et 3, je me suis pris la collection sur PC, car celle-ci part depuis le début. Le tout tout début, où le "Solid" n’avait pas encore sa place, avec un titre intitulé sobrement Metal Gear, sorti sur une console japonaise, passant totalement inaperçu chez nous. Il est plus que temps de faire un petit cours de rattrapage !
publié il y a un mois
Note : 9 / 10
Année de sortie : 2010
Genre : CRPG
Flames of Vengeance (extension de Divinity II)
Mon plus beau souvenir du monde de Rivellon
Et ce titre de critique, je ne l’invente pas. J’ai joué à ce jeu, avec son extension, il y a bien longtemps (une bonne dizaine d’années, je dirais). Et c’est fou : le seul vrai souvenir marquant que j’en avais gardé (hormis quelques concepts clés comme la tour, les gros seins de mon personnage, et la transformation en dragon) était… l’extension. Cette géniale ville d’Aleroth, remplie de quêtes partout, littéralement à chaque coin de rue, où des PNJ n’attendent qu’une chose : nous filer du boulot. Comme quoi, Macron n’a rien inventé. Bref, la ville d’Aleroth était mon souvenir le plus persistant du jeu, et si ça m’avait autant marqué, c’est tout simplement parce que cette extension est tout bonnement incroyable !
publié il y a 2 mois
Flames of Vengeance (extension de Divinity II)
Mon plus beau souvenir du monde de Rivellon
Année de sortie : 2010
Genre : CRPG
Note : 9 / 10
Et ce titre de critique, je ne l’invente pas. J’ai joué à ce jeu, avec son extension, il y a bien longtemps (une bonne dizaine d’années, je dirais). Et c’est fou : le seul vrai souvenir marquant que j’en avais gardé (hormis quelques concepts clés comme la tour, les gros seins de mon personnage, et la transformation en dragon) était… l’extension. Cette géniale ville d’Aleroth, remplie de quêtes partout, littéralement à chaque coin de rue, où des PNJ n’attendent qu’une chose : nous filer du boulot. Comme quoi, Macron n’a rien inventé. Bref, la ville d’Aleroth était mon souvenir le plus persistant du jeu, et si ça m’avait autant marqué, c’est tout simplement parce que cette extension est tout bonnement incroyable !
publié il y a 2 mois
Note : 7 / 10
Année de sortie : 2009
Genre : CRPG
Divinity II: Ego Draconis
Divinity : Panzer Dragoon Edition
2010, c’était encore le temps de l’ancien Larian Studios. Une époque où le studio était surtout connu pour sa saga originale Divinity, une série de jeux d’action-RPG/Hack and Slash. Certes, de bons jeux, mais loin d’avoir l’aura prestigieuse des grands noms du genre. Et ce Divinity 2: Ego Draconis (à ne pas confondre avec Divinity: Original Sin 2 – car oui, les noms dans cette saga, c’est comme son scénario, un grand n’importe quoi) reste le plus pur représentant de cette époque. Un jeu pour lequel j’ai toujours beaucoup d’affection (surtout pour son extension, comme vous le verrez), mais dont je ne peux nier certains petits défauts, qui l’empêchent de côtoyer les sommets.
publié il y a 2 mois
Divinity II: Ego Draconis
Divinity : Panzer Dragoon Edition
Année de sortie : 2009
Genre : CRPG
Note : 7 / 10
2010, c’était encore le temps de l’ancien Larian Studios. Une époque où le studio était surtout connu pour sa saga originale Divinity, une série de jeux d’action-RPG/Hack and Slash. Certes, de bons jeux, mais loin d’avoir l’aura prestigieuse des grands noms du genre. Et ce Divinity 2: Ego Draconis (à ne pas confondre avec Divinity: Original Sin 2 – car oui, les noms dans cette saga, c’est comme son scénario, un grand n’importe quoi) reste le plus pur représentant de cette époque. Un jeu pour lequel j’ai toujours beaucoup d’affection (surtout pour son extension, comme vous le verrez), mais dont je ne peux nier certains petits défauts, qui l’empêchent de côtoyer les sommets.
publié il y a 2 mois
Note : 6 / 10
Année de sortie : 2011
Genre : Simulation
L.A. Noire
Une bonne petite série télé en hommage à L.A. Confidential.
Ça fait longtemps que ce jeu édité par Rockstar m’intrigue. Un jeu qui avait fait beaucoup de bruit à l’époque, notamment pour ses animations faciales bluffantes (qui, cela dit, font toujours le café aujourd’hui) et pour son ambiance de détective dans un Los Angeles des années 40, dans un des hommages les plus évidents à L.A. Confidential, excellent film de l’époque. Mais alors, qu’est-ce qui m’a rappelé ce jeu, au point que j’aie envie d’y jouer en 2024 ? C’est simple : cette vidéo ! J’étais tellement plié en deux que, tout connement, je voulais y jouer juste pour arriver à ce moment précis. Puis, comme j’ai bien aimé l’aventure, je me suis dit : pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ?
publié il y a 2 mois
L.A. Noire
Une bonne petite série télé en hommage à L.A. Confidential.
Année de sortie : 2011
Genre : Simulation
Note : 6 / 10
Ça fait longtemps que ce jeu édité par Rockstar m’intrigue. Un jeu qui avait fait beaucoup de bruit à l’époque, notamment pour ses animations faciales bluffantes (qui, cela dit, font toujours le café aujourd’hui) et pour son ambiance de détective dans un Los Angeles des années 40, dans un des hommages les plus évidents à L.A. Confidential, excellent film de l’époque. Mais alors, qu’est-ce qui m’a rappelé ce jeu, au point que j’aie envie d’y jouer en 2024 ? C’est simple : cette vidéo ! J’étais tellement plié en deux que, tout connement, je voulais y jouer juste pour arriver à ce moment précis. Puis, comme j’ai bien aimé l’aventure, je me suis dit : pourquoi ne pas aller jusqu’au bout ?
publié il y a 2 mois