Jak II : Hors la loi
Jakouille II : Hors-sujet
Genre : Plateforme / Année de sortie : 2003
Publié il y a 4 mois
Il y a principalement deux groupes d’avis sur Jak 2. Il y a ceux pour qui ce jeu est une très bonne suite, qui bien qu’osée et surprenante, a parfaitement réussi son virage vers le mix plateforme/GTA-Like, et qui pensent que « ceux qui n’aiment pas le jeu, c’est des rageux car il est trop dur pour eux », souvent un avis partagé par ceux ayant découvert le jeu particulièrement jeune. Puis il y a les autres, les trous du cul, les sans-gêne, qui trouvent quand même que ce Jak 2, niveau qualitatif, est loin du premier opus… Et devinez vers quel groupe d’avis je penche ? Eh oui, je sais, je suis un connard !
Sommaire de la série Jak
Jak II : Hors la loi (5/10)
Des flingues, trop bien ! Pile ce que j’attendais de la suite de mon jeu de plateforme PS2 favori !
Bon, je ne vais pas faire le surpris en découvrant le gameplay de cet épisode, je connaissais déjà ce revirement pour le moins surprenant du gameplay à partir du second opus étant bien plus jeune. J’avais fait le premier dans ma jeunesse, mais jamais ce second opus, car déjà étant gamin, possédant GTA 3, je voyais probablement en ce Jak 2 une banale copie de la licence phare de Rockstar, et je préférais demander GTA San Andreas à mes parents plutôt que Jak 2. Preuve que déjà tout petit, je disposais d’un esprit et d’une capacité d’analyse hors du commun, bien avant que je le mette à votre service via mes critiques éclairés. Car oui, j’ai fait ce Jak 2 début 2024, et j’ai été terriblement déçu. Là où j’espérais y dénicher une opportunité manquée, il semblait que j’avais déjà bien vu juste, 20 ans plus tôt, et que j’avais senti le piège.
Et pourtant, durant nos premières heures, il n’en est rien, car sur la première partie, je ne m’y suis pas déplu. On découvre enfin ce qui se cache derrière le portail mystérieux ouvert à la fin du 1, une machine à voyager dans le temps. On profite d’excellentes cinématiques, et le doublage est toujours d’une excellente qualité en VF, avec en prime une voix pour Jak, qui provient du même doubleur qu’Edward Norton, autant dire que j’ai validé à 100%, tant ce doubleur est charismatique. Et si le nouvel univers a de quoi dépayser par rapport au premier, rien à foutre, j’adore ça les prises de risque, surtout en matière de suite d’un jeu à succès. C’est souvent signe d’une créativité débordante au sein de l’équipe de développement qui s’exprime. Et bien que l’univers du premier jeu eût toutefois un cachet particulier très agréable que j’aurais aimé retrouver, même simplement le temps d’une mission, l’univers bien plus sombre et terne de Jak 2 reste efficace, et il a forcément fait mouche pour moi qui suis devenu adulte entre temps.
Puis le scénario est vraiment sympa à suivre. Ce n’est pas du grand art, et ça part clairement en couille quand ça veut nous expliquer des twists à base de paradoxes temporels (putain, les années 2000 étaient remplies de ce genre de scénario, on sent que Terminator et Retour vers le futur avait bien marqué les esprits), mais même pour du début 2000, c’est cool. Surtout que je n’attendais pas du tout Jak 2 sur ce terrain, le précédent jeu étant un banal jeu de plateforme avec juste un prétexte pour justifier l’aventure, c’est donc une très bonne surprise. Et comme le jeu emprunte beaucoup à du GTA, c’est-à-dire une ville ouverte où on progresse en effectuant des missions via des courtes cinématiques pour introduire chacune d’entre elles, cela donne lieu à de très nombreux dialogues entre les différents intervenants de l’histoire, toujours sympas à regarder. J’ai même plusieurs fois bien rigolé, car bien que l’univers s’assombrisse, certains personnages (le singe/oiseau divin, clairement le plus drôle lui) ou certaines interactions sont vraiment rigolotes. Bon, il est vrai que l’humour un peu pipi-caca de Daxter a clairement vieilli tout de même (comment il est louuuurd avec les meufs d’ailleurs, haha, ça ne passerait plus ça aujourd’hui !)… Quoi que ce soit peut-être moi qui ai vieilli tiens… Et j’évoquerais aussi les personnages qui sont vraiment charismatiques, que ce soit le gros porc dans le bar du port qui joue clairement sur les deux tableaux, ou encore le ‘grand méchant’, le Baron, qui bien qu’autoritaire et aux méthodes assez radicales, cherche toutefois des solutions pour sauver son peuple de la menace des Metal Head. On a donc un panel de personnages très chouette à découvrir durant l’aventure.
Puis niveau gameplay, les flingues s’intègrent finalement très naturellement dans le moveset de Jak (Il est d’ailleurs très appréciable de retrouver tous les contrôles et mouvements de l’époque), en apportant de nombreuses nouvelles situations avec des attaques à distance, qui se lient d’ailleurs parfaitement aux attaques de corps à corps toujours présentes. Le fait d’avoir quatre armes différentes apporte juste ce qu’il faut pour avoir assez de variété et de choix selon les situations. Puis même malgré le côté plus action du titre, le jeu conserve toutefois toujours une composante importante de plateforme, qui se développe là aussi avec l’arrivée du JET-Board, qui bien qu’un peu particulier à piloter, apporte une souplesse et vélocité très agréables dans les mouvements de Jak, permettant de se déplacer plus vite facilement. Et si les niveaux sont désormais plus petits et se dévoilent au fur et à mesure via les missions, certains sont vraiment réussis, comme la montagne précurseur qui refait agréablement penser au premier jeu en termes d’ambiance, ou encore le tombeau de Mar, très plaisant à parcourir (puis avec une séquence surprise avec Daxter !). Le jeu a en plus le très bon goût d’avoir une grande durée de vie (20h environ le 100%), plus que le double du précédent jeu, franchement, qu’est-ce qu’on peut demander de plus, je vous le demande !!
…Bien, on demande des finitions, tout simplement !
Car oui, le manque de finition, c’est ce qui va caractériser malheureusement tout le jeu. Et si j’ai jusqu’ici dressé un portrait assez flatteur de cette suite, il y a malheureusement tout autant de choses qui ne vont pas avec ce jeu, qui sont venues saboter constamment tout mon plaisir de jeu. Déjà, l’exploration de la ville. Putain, que c’est insupportable. Que la navigation en ville est un cauchemar, il n’y a quasiment aucun espace pour circuler, il y a constamment des véhicules de partout, nous obligeant sans arrêt à naviguer entre le niveau du sol rempli de citoyens qui sont tout autant un calvaire à esquiver, et celui des voitures pour tenter comme on peut d’avancer, nous donnant l’impression d’être un Parisien en scooter, slalomant entre les voitures aux heures de pointe pour rentrer du boulot. Et même si avec le temps ça s’arrange car notre conduite s’améliore (la maniabilité des véhicules est assez particulière, mais on s’y fait mine de rien), ça reste particulièrement irritant, d’autant plus que le jeu reprend aussi un concept phare des GTA : le système de recherche des forces de l’ordre. Alors tu reprends ce que j’ai dit plus haut avec des véhicules de partout et autant de piétons en dessous, tu rajoutes dans tout ça des gardes qui sont de véritables mines ambulantes, et tu te retrouves la moitié du temps à te faire poursuivre par des forces de l’ordre, avec une musique insupportable, et venant bloquer l’accès aux missions secondaires, juste un calvaire.
D’autant plus, Abriville n’est pas intéressante à explorer, la ville n’a que peu de charme, et à part la partie sud avec le port et le nord avec le stade, tout le reste n’est qu’une succession de couloirs sans âme, sans secrets, ou aucun lieu notable qui vient changer de la routine et qui lui donne vie ou une identité. On est donc très loin des GTA où chaque jeu profite d’une ville qui fait en partie l’identité de ces jeux, tant leurs level design est riche et réussi. Le pire, c’est le nombre fou d’allers-retours chiants comme la pluie entre chaque mission, nous faisant traverser jusqu’au dégoût toute la ville durant tout le jeu. Et il n’y a pas grand-chose pour t’occuper, les seules annexes sont les petites missions qui se débloquent via des terminaux ici et la, mais à part une course d’anneaux et un jeu de cache-cache (il faut trouver un orbe via une image) venant bêtement pointer du doigt la pauvreté du design de la ville, tant tous les décors sont identiques, il n’y a pas grand-chose à faire à part faire les missions à la chaîne (dans des niveaux dénué de collectable désormais). Donc, déjà, tout le côté GTA-like, c’est clairement foiré, et pour moi qui ai fait GTA 3 à la même époque, c’est le jour et la nuit, tout simplement. GTA était si varié dans ses activités annexes, secrets, level design, et missions qui exploiter parfaitement chaque recoin de la ville, que Jak 2 ne tient tout simplement pas la comparaison. C’est aussi ça le problème de vouloir s’inspirer ouvertement d’un jeu populaire de grande qualité, faut réussir à assurer derrière, car la comparaison fait mal sinon.
Allez, je suis un peu langue de pute, en dehors des courses d’anneaux et du jeu de cache-cache, on a aussi les mini-jeux, venant apporter une variété bienvenue. Et de ce côté-là ça va, tant qu’on ne cherche pas à avoir les médailles, ils sont rigolos. Car oui, je suis con, et j’ai cherché à avoir toutes les médailles d’or, et dieu que c’était hardcore. J’ai réussi en fin de compte, mais c’est juste dingue les scores exigés pour l’or, ne serait-ce que le champ de tir avec le fusil à pompe qui nécessite un par cœur, celui aussi avec le JET-Board avec un score à atteindre totalement indécent, ou encore toutes les courses, impitoyables sur le chrono. Putain de bordel, les courses, quel enfer. Et là je ne parle pas simplement des médailles, car ça ok c’est alternatif donc au pire tant pis, mais rien que réussir certaines courses (qui sont obligatoires dans le scénario), c’est hyper difficile, nous bloquant parfois dans notre progression. Et ce retrouvé bloqué de longues minutes dans des missions au gameplay « mini-jeu » car leur réalisation est discutable, ce n’est jamais une bonne idée quand on essaye de faire un bon jeu. Oh là là, la course contre Errol dans la ville, quel cauchemar, avec le véhicule qui part en couille à cause du décor pas prévu pour, nous obligeant à connaître le circuit par cœur non pas seulement pour le maîtriser, mais aussi pour pallier aux défauts de Game Design surtout. Et oui, j’ai fait l’or sur cette course, et oui, c’était un enfer du cul, juste pas d’autre mot.
Le jeu hardcore, sans aucune raison
Et là, on pointe le principal problème dû au manque de finition du jeu : la difficulté. Et attention, non, je ne rage pas (enfin si, j’ai ragé de fou sur le jeu, mais ce n’est pas ce que je veux dire), je n’ai aucun problème avec la difficulté. Je suis un joueur hyper hardcore, je fais tous mes jeux en difficulté maximum, mais putain, là ce n’est pas dur, c’est juste que le jeu est si merdique que cela engendre de la difficulté purement frustrante, nuance. Je l’ai dit, par exemple, avec la course de Errol, non pas dure juste parce que le tracé du circuit est compliqué, mais uniquement parce que c’est injouable à cause du véhicule qui part en couille au moindre élément du décor ou des putains de PNJ aléatoires qui peuvent se retrouver en plein milieu du chemin te détruisant parfois ta course, sans qu’on ne puisse rien y faire. Mais même dans les vrais niveaux du jeu en lui-même, certains sont à la limite du calvaire. J’ai en tête ce niveau dans les égouts, où il faut escorter trois glandus durant une mission, sous l’assaut non-stop de nombreux Metal Heads, hyper difficile. Mais difficile, car la mission est mal conçue. Honnêtement, la phase finale, quand tu as CINQUANTE ennemis qui te spawnent dessus (mais vraiment) à la fin d’un niveau sans avoir de regen de vie, et que le seul moyen de s’en sortir, c’est d’exploiter des techniques pétées comme le saut toupie + tir du gun jaune en boucle, ne viens pas me dire qu’il n’y a pas un souci.
Et c’est marrant, car arrivé à un moment, je ne faisais plus une seule partie, pas une mission, sans me dire ‘mais bordel, c’est mal branlé ce truc’, plus une seule session de 10 minutes, sans que je trouve un truc qui n’allait pas et qui me fasse râler devant mon écran. La séquence en JET-Board dans le port où il faut récupérer les paquets sur l’eau à la maniabilité approximatif, la montagne avec les éboulements aléatoires où seule la chance fera que tu arrives à passer la phase en vie, les séquences de saut en JET-Board peu précises où il faut grinder mais parfois le perso bug et ne s’accroche pas, je peux t’en citer des centaines. Et comble du mauvais goût, les développeurs ont mis quasiment aucun checkpoint. Donc tu te retrouves à te retaper des niveaux moisis dans leur intégralité, car tu es mort sur la fin à cause d’un défaut de game design, joie. Et quelle erreur, j’en connais des jeux pas précis dans leur gameplay, comme les Sonic Adventure par exemple, mais qui reste bon, car pour compenser ça, SEGA n’a jamais fait en sorte que leurs jeux soient punitifs ou vraiment difficile, sinon tu pointes du doigt tous les défauts de conception du jeu justement. Mais Jak 2, il fonce droit dans le mur et fait exactement ce qu’il ne faut pas faire quand un jeu manque de précision et de finition : être exigeant.
Et je pourrais encore soliloquer longtemps sur les défauts de conception du jeu qui le rendent insupportable, mais je finirai ma critique avec une petite liste sur ce qui m’a le plus saoulé et fait comprendre que Jak & Daxter, c’était définitivement mieux :
- Le manque de précision des armes, qui rend certaines séquences de tir à distance imbuvables, car on ne peut pas viser directement. C’est con, quand on sait que dans le premier, cela était possible avec l’éco jaune !
- L’éco noir qui ne sert à rien, à part attendre une heure de jeu afin que la barre soit pleine, pour claquer un ulti moisi tuant cinq ennemis à l’écran. Toute la monnaie des crânes de Metal Head permettant de renforcer les pouvoirs à base d’éco noir sert quasi à rien, et on n’en a même pas assez en une partie pour tous les avoir, trop bien…
- Les munitions et santé quasi introuvables. Ce qui fait que tu te tapes encore plus d’allers-retours jusqu’au mini-jeu de tir tout au sud, seul endroit avec des munitions infinies, rendant le jeu encore plus lourd. Petite dédicace à la mission d’escorte dans les égouts évoquée plus haut, où le jeu fait une save sans raison juste avant le moment le plus hard (mais pas de checkpoint hein), ce qui fait que si tu veux recharger ta partie pour recommencer avec toutes tes munitions suite à un échec, et bien tu es baisé !
- Les gardes qui spamment leurs phrases sans aucune logique, même sans poursuite.
- Le mode héros, qui demande de refaire le jeu en deux fois plus dur, dans un jeu déjà totalement mal branlé déja à la base, quelle bonne idée tiens.
- La mission avec la tourelle où il faut vaincre 40 ennemis, hyper difficile et pénible avec les contrôles de ladite tourelle. Surtout que ça arrive au début de la mission, et tout le reste est super facile, bravo l’équilibrage.
Donc, dommage, tout ce manque de finitions vient flinguer le jeu à lui seul. Car tu lui retires ça, tu mets des checkpoints, tu fignoles mieux quelques aspects comme la navigation dans la ville, et c’est bon, le jeu est correct. De l’aveu même des développeurs dans les commentaires bonus d’un autre de leurs jeux, ils avouent carrément à demi-mot qu’ils se sont chiés avec la « difficulté » du jeu, et qu’ils regrettent l’état de Jak 2. C’est dire le bordel. Et c’est con, car le jeu a à côté de solides arguments. On a même Daxter qui fait un peu de backseat quand on bloque, bien avant GOW avec Atreus bien plus tard, preuve qu’il y a des aspects soignés dans ce jeu tout de même.
Mais je finirai ma critique avec ce qui m’est arrivé à la fin du jeu, et qui fait que je n’ai pas écrit cette critique juste après avoir fini le jeu, car clairement, ça aurait été un 1/10 sinon si je l’écrivais à chaud. J’ai eu un bug qui m’a empêché de finir le jeu. Et oui, il y a moyen de finir softlock dans un jeu de PS2. J’ai eu le bug très rare qu’on nomme « le bug des 92 % », qui, en gros, arrive à la toute fin du jeu, au moment où il faut rejoindre Keira devant le stade pour enclencher les deux/trois missions finales. Eh bien, avec le bug, elle n’apparaît jamais, car une course du stade s’active sans raison à l’approche du stade, verrouillant toutes les autres quêtes du jeu tant qu’on est dans les environs du stade, et c’est un peu con, vu que Keira s’y trouve. Seul moyen de s’en sortir, désactiver la course au panneau pas loin du stade. Oui, mais à ce moment, la ville est en constante alerte (invasion des Metal Head jusqu’à la fin du jeu), donc les panneaux sont désactivés… Voilà, j’ai fini ma partie comme ça, bloqué par un bug. J’ai tout essayé pendant deux heures, cherché partout sur le net, le seul truc de l’époque possible, c’était d’envoyer sa carte mémoire à Naughty Dog par la poste (!) pour qu’ils débloquent ta sauvegarde !! Bah merde, je l’aurais bien envoyée pour rigoler, mais je joue sur la version démat vendue sur la PS4, je fais quoi du coup, je tente de leur envoyer ma PS4 ?! Car la sauvegarde est totalement morte, et le seul truc trouvé sur internet, c’est des gars résignés à recommencer le jeu depuis le début, en croisant les doigts que cette fois, ça passe. Putain de bordel de merde, jamais de la vie, tu m’as vu un peu ? Je n’ai pas fait toutes ces médailles d’or de merde pour rien, je préfère arrêter là.
Blague à part, ce bug m’a rendu zinzin, et j’ai pas du tout rigolé sur le coup. J’ai donc « fini » le jeu en regardant un Let's Play de ce que je n’ai pas fait comme un gland sur YouTube (que 30 minutes de jeu en plus, j’étais à la toute fin quoi), super. Bon, après, je n’en tiens pas totalement rigueur dans ma note, c’est un bug super rare apparemment et j’avais fait toutes les annexes juste avant, mais quand même, un jeu de PS2 « réputé » mais interminable à cause d’un bug, woaw. Vous comprenez tout de même que je ne mets pas plus de 5/10 à ce jeu hein. Mais je trouve toutefois du positif dans mes galère, car il y a tout de même une certaine poésie qui se dégage de ce bug qui m’a empêché de terminer le jeu, car je trouve qu’il est une parfaite synthèse de Jak 2 : une œuvre inachevée.
On aurait donné un an de plus pour le développement de Jak 2 (et aussi une équipe un brin plus talentueuse quand même), et je suis persuadé que le jeu aurait été excellent. Mais ce n’est pas le cas ici, et ça a été pour moi une immense déception. Mais bref, il reste encore Jak 3, qui semble de loin corriger tout ce qui ne va pas dans Jak 2… Allez, on y croit !
5/10
C'est
pas
gentil
de vous
moquer
de ma
tête,
c'est
déjà un
miracle
que j'en
ai
retrouvé
une
après
les
folles
expériences
de mon
ancien
maître
Erstam
!
Mon
nouveau
maître,
le
créateur
de ce
site,
m'a
parlé de
ce jeu,
et je
dois
bien
avouer
que ce
jeu
vidéo et
moi, on
a plein
de
choses
en
commun,
je
l'adore
déjà
!
Voyez
plutôt !
Une
expérience
ratée,
où on
peut
déceler
un
potentiel,
mais de
trop
grands
défauts
dans sa
conception
qui
rendent
le
résultat
final
vraiment
médiocre
!