Fire Emblem 7
Toujours le Meilleur Fire Emblem pour découvrir la série
Genre : Strategie / Année de sortie : 2003
Publié il y a un an
Premier épisode de la série à sortir en France (Sobrement intitulé Fire Emblem pour l’occasion), de nombreux joueurs vont avoir enfin l’occasion de découvrir l’origine de Roy apparu dans Smash bros Melée ! Euh… non c’est Elywood le héros dans celui-là, mais c’est presque le même physiquement, puis c’est le père de Roy en plus !
Sommaire de la série Fire emblem
Fire Emblem 7 (7/10)
Pour être sûr de ne perdre personne et d’attirer un maximum de curieux, cet épisode se veut un maximum accessible pour l’occasion de la sortie de la série en dehors du japon. On se retrouve avec le Premier FE qui dispose d’une campagne entière qui fait office de gros didacticiel, avec des mécaniques présentées petit à petit au fil des chapitres. Cela contraste grandement avec FE6 (l’épisode précèdent), qui nous balance directement sur une vraie mission avec pleins d’ennemies. D’ailleurs, FE7 (je vais l’appeler comme ça désormais !) est un prequel à l’histoire de FE6, surement une façon d’attirer les fans japonais méfiant de cet épisode pour noob.
Une aventure classique avec quelques nouveautés
Dans la première partie du jeu qui est la plus courte, on sera au coté de Lyn, personnage très classe et que j’apprécie beaucoup, qui reprend l’archétype de personnage bretteur version féminin (ahh Ayra de FE4 >3 ), nous changeant un peu des Lords très classique et souvent peu charismatique (ne vous inquiétez pas, Eliwood vient après !). Donc si vous connaissez la série, vous savez par avance qu’elle va être surement complètement Destroy niveau coup critique, et vous avez raison de le pensez ! On va suivre Lyn dans sa quête pour retrouver sont grand père, sa seule famille dont elle vient tout juste de découvrir l’existence. L’affaire ne sera pas simple pour elle, car évidemment, certains seront contre l’arrivé de Lyn, qui deviendra l’héritière de son grand père, qui est le marquis de Caelin.
Une des premières nouveautés bienvenues dans la saga, c’est l’arrivé du personnage qui nous représente directement dans l’histoire, qui sera repris en bien plus évolué par la suite avec les épisodes les plus récents. Ici, cette mécanique est très basique, on choisie simplement un nom, notre sexe et date de naissance (aucun impact), et à l’occasion, les personnages s’adresseront directement à nous. Notre présence est justifiée par le fait que nous sommes un habile stratège (pour les impressionné, j’ai dit à Lyn et Eliwood que j'ai fini Three house en Lunatic à ma première partie ), et bien que notre personnage ne participe pas aux combats et ne parle jamais, Il est appréciable d’avoir plusieurs fois durant la partie les héros qui nous parlent directement (ils regardent l’écran), certains sont même chaleureux avec nous après des retrouvailles et même touchant en se confiant à nous.
Après une dizaine de chapitres très simple au coté de Lyn, nous allons commencer le vrai gros morceau du jeu avec Eliwood, qui aura lui aussi sa propre trame scénaristique, qui va rapidement rejoindre le groupe de Lyn, ce qui nous permettra de retrouver nos anciens personnages dans l’état ou nous les avons laissés. Bien que cette partie soit plus intéressante niveau Gameplay (la difficulté augmente directement d’un cran), je regrette le coté scénario qui revient très classique, avec un Eliwood qui à juste zéro charisme, étant un énième Lord combattant à l’épée très gentil et beaucoup trop plat au niveau de la personnalité. Heureusement que sont meilleur ami, Hector, autre personnage important, remonte le niveau. Cette aventure comporte en moyenne vingt chapitre, et comporte le reste de l’aventure. Pour ceux qui ont fait FE6, il est tout de même appréciable de découvrir les nombreuses références à la futur aventures avec Roy, et qui explique certains points ( la partie avec Zephiel jeune et sa famille difficile est super bien développé, j'ai adoré).
Des mécaniques de jeu toujours aussi efficace
Une des autres raisons pour lequel je recommande toujours de commencer la série par cet épisode, ce n’est pas simplement la difficulté revue à la baisse de ce jeu (bien que les derniers chapitres sont chauds), c’est aussi tout simplement pour ses mécaniques très simple mais très efficace encore aujourd’hui (complétement ridiculisé aujourd’hui par Three Houses niveau complexité je l’accorde), qui permettent de découvrir toutes les bases de la série en douceur. Les missions ont d’ailleurs des objectifs rarement complexes et seul la chasse à tout les coffres et objectifs secondaires de certaines missions peuvent être compliqués à réaliser, et encore. A noter aussi la présence de la fameuse arène dans plusieurs chapitres, qui si bien exploité, permet de level up à l’infini et de casser complétement le système d’argent du jeu, à utiliser avec modération !
Le jeu à toujours comme FE6 des chapitres secrets, qui peuvent être débloqué avec parfois des conditions assez simple (sauvez un marchand dans un village), et parfois avec des conditions complétement absurde (avoir un certain personnage à un bon niveau, super dans un jeu ou tu joue qu’avec une dizaine sur les 40 !). Je recommande donc toujours d’avoir une petite page internet d’ouvert sur le sujet pour ne pas louper ces missions annexes, qui sont souvent très intéressante, et donnant de très bonnes récompenses ! Après, elles ne sont pas obligatoire comme dans FE6, ou il fallait quasiment faire tous les chapitres secrets pour accéder aux derniers vrais chapitres du jeu ainsi que à la vraie fin ! On garde aussi le système de de relation entre les personnages, avec des couples qui peuvent se former, notamment entre les personnages principaux. Néanmoins, ça reste toujours assez obscure et assez mal branlé. En gros, on gagne des points uniquement quand deux persos sont a coté à la fin d’un tour, ce qui en gros nous fait passer pleins de tours avant de prendre le trône à la fin d’une mission pour monter les relations, assez nul… Certains dialogues sont tout de mêmes intéressants, et permettent d’apprendre des choses intéressantes sur nos personnages préférés. Il est juste dommage que le système est aussi limité, car un personnage ne peut avoir que 5 dialogues dans une partie, ce qui est franchement très con. Finalement j’ai fait comme d’habitude, j’ai regardé sur un site tous les dialogues des personnages de mon équipe !
Le système de combat reste toujours autant plaisant, bien qu’il apporte quasiment aucune grosse nouveauté par rapport à FE6. On peut remarquer qu’enfin les voleurs peuvent enfin changer de classes, une très bonne nouvelle pour moi qui aime en avoir un dans mon équipe (bon même en changeant de classe ils sont toujours bidon, mais ils ont la classe, tout ce qui compte !). On retrouve Merlinus, le marchand qui est notre seul moyen d’accéder à la réserve durant une mission. Malheureusement ce gros abruti sera représenté par une tente impossible à déplacé durant les missions, ce qui causera souvent sa mort à cause d’un Game Design pourrit qui fait souvent apparaitre des ennemies justes à cotés après plusieurs tours… Heureusement sa mort ne l’empêchera pas de revenir pour la mission d’après, mais il ne montera pas de niveau, ce qui est dommage car à un certain niveau, il se transformera en charrette, enfin !!!
Malgré cette petite erreur de mauvais gouts concernant Merlinus, je suis très content que les développeurs dans ce épisode ont retiré le coup des ennemies qui apparait et joue le tour même, une des plus grosses idées de merde de la série (qui reviendra malheureusement plus tard dans la série…) ! Il est toujours important de constituer une équipe bien équilibrer pour utiliser un maximum d’équipement différents, toujours très variées avec des armes légendaires pour chaque catégorie d’armes (c’est le gros festival à la fin). J’ai adoré certains personnages, comme Dart le pirate surpuissant (bien qu’un peu aveugle pour placer un coup au début) qui peut aller sur l’eau, donnant un gros avantage sur certaines cartes. J’ai aussi adoré Lyn, surpuissante ainsi que Ninian, la traditionnelle danseuse qui permet de rejouer. Mon équipe était à la fin composée de 11 personnages, ce qui est un chiffre parfait pour faire l’aventure. Elle était constituée de : Eliwood (Bhouu), Lyn (la plus puissante de groupe), Dart (un monstre), Pent (juste trop classe), Fiora (j'ai voulu changer des wyvern pour une fois, ça va elle passe bien), Ninian (la danseuse), Matthew (comment il pu du cul au combat, mais grâce à sa vitesse, il à sauvé plusieurs situations!), Priscilla (surtout la pour les soins), Wil (un tueur avec son arc, plus fort que les nomades), Lucius (un mage blanc très fort) et Kent (un chevalier très classe et un bon tank, parfait pour moi qui déteste les perso en armure lourde!).
Une bonne idée dans ce FE7, c’est la possibilité à la fin de refaire l’aventure avec cette fois-ci le point de vue de Hector à la place de celui de Eliwood, ce qui est une excellente occasion de refaire une deuxième aventure en mode difficile. Après, n’espérez pas non plus grand chose, il y a que très peu de missions et perso unique à l’aventure de Hector, le jeu ressemble finalement énormément au parcours de Eliwood avec de rares différences seulement. Toutefois, le mode Hector et mode difficile combiné représente un excellent challenge pour les joueurs comme moi habitué à la série !
Clairement pas le plus grand des Fire Emblem à cause de son aspect très classique et facile pour faire les yeux doux aux nouveaux joueurs non japonais, il reste néanmoins une excellente porte d’entrée dans la série pour ceux qui souhaite découvrir la série. Pour les autres, ça reste un Fire Emblem à faire, rien que pour suivre l’aventure après dans FE6 et apprécier les nombreuses références. Je recommande tout de même pour les joueurs confirmés qui vont jouer sur émulateur d’en profiter pour commencer directement avec une save chopé sur le net qui à directement le mode Hector et difficile débloqué, pour ne pas trop vous ennuyer et avoir un challenge à la hauteur de votre incroyable skill.
7/10
Hummm, Papa British m'a permis d'arrêter
l'étude du Codex de la sagesse ultime
(mais qu'est-ce donc que le Codex ?)
pour jouer à ce très bon jeu, et j'ai
bien apprécié...
Pour le créateur du site (mais qu'est-ce
qu'un créateur de site ?), c'est un très
bon jeu, mais il lui manque quelque
chose pour vraiment faire partie des
meilleurs...
Holala, je ne comprends rien à tout ça,
puis de toute façon, il faut que je
retourne à mes devoirs... Hum, c'est
quoi un Paladin ?